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Putain et Poulinière

Freddy Malot – mars 1999

Église Réaliste Mondiale

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Éditions de l’Évidence – 2010

2 montée de la Rochette, 69 300 Caluire

Sommaire

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Putain
et
Poulinière

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A- Les Nouveaux Rouges

Le salut du Peuple s’identifie à l’avènement de la République Syndicale d’Europe, base d’appui du Communisme mondial.

Pratiquement, la République Syndicale sera l’œuvre du Front Rouge. L’ossature du Front Rouge consiste dans l’union du Salarié, de la Femme et du Jeune ; du Syndicat de salariés rouges, du Parti de femmes rouges et du Club de jeunes rouges.

On peut comparer le Front Rouge à une FLÈCHE : la Jeunesse y figure comme la pointe et le couple Salarié/Femme comme la hampe (ou verge), laquelle se dédouble précisément en son arrière, près du fil de l’arc, en talon et empenne (l’empenne – les ailes – dirige la flèche et tend sa trajectoire).

Si on envisage le Socialisme comme l’œuvre nécessairement conjointe du Syndicat de salariés rouges et du Parti de femmes rouges, tout devient nouveau ; y compris le sens de la couleur “rouge” !

Désormais, le couple Salarié/Femme, lui-même formant une triade Rouge avec le Jeune, est “rouge” au sens de Responsable de la lutte de masse ; et c’est ce front dans sa totalité, qui fait appel à l’aide de l’Église Réaliste, afin que la Masse soumise se mue intégralement en Peuple souverain. Notre nouvelle approche du Socialisme donne au Front l’“exclusivité” du titre Rouge ; cette “autonomie” du Front au sein du peuple a pour conséquence importante que la conquête du Communisme ne se décide plus étroitement “à gauche”. C’est bien pour cela que ladite conquête va pouvoir enfin… aboutir !

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B- Syndicat-Parti

1- Quand on parle du Syndicat de salariés “rouges”, on peut facilement s’illusionner et n’y voir qu’une résurrection des vieux syndicats de “lutte des classes” qui défiaient le réformisme des syndicats de “collaboration de classes”.

De quoi s’agissait-il ? Le Syndicat Rouge proclamait :

- L’émancipation du travail exige une EXPROPRIATION pure et simple des capitalistes ;

- Cela ne se peut sans le recours à la VIOLENCE révolutionnaire ;

- Le résultat est l’élévation de la Classe des ouvriers salariés au rang de classe dominante, l’instauration de la DICTATURE du Prolétariat.

- Le Syndicat Rouge, partie Organisée de la Classe ouvrière, reconnaît la nécessité de la direction du PARTI ouvrier, avant-garde Consciente détentrice du Socialisme Scientifique. Cette direction s’exerce par le biais des “fractions” communistes au sein du syndicat. De cette façon, le Syndicat est tout à la fois “courroie de transmission” du Parti, et “vivier” du Parti. En effet, dans le feu de l’expérience révolutionnaire et par la médiation du syndicat, toute la Classe “montante” du Prolétariat est appelée à devenir Communiste.

- La Classe ouvrière, étant “libre de tout”, n’ayant “que ses chaînes à perdre et un monde à gagner”, en se découvrant conforme à sa mission chronologique civilisée, ne pourra user de sa propre domination qu’en vue de l’extinction de cette même domination, n’avoir comme but que la substitution du “règne de la LIBERTÉ” sociale générale au règne antérieur de la “Nécessité”.

La perspective du syndicat de Lutte des Classes fut célébrée dans sa forme parfaite par le Komintern de Lénine, qui mit sur pied en 1921 l’I.S.R. (Internationale Syndicale Rouge). Ce fut la C.G.T.U. en France, qui fit faillite en 1934.

Réduire le Communisme à la perspective de domination du “4^ème État” prolétarien, succédant à la domination du “Tiers-état” bourgeois, ne correspond pas à la nécessité Historique. Cette conception marxiste prend pour base les Unions ouvrières anglaises (1824), en y associant en théorie l’économie selon Owen (1818) et la politique selon la Charbonnerie (1820).

Comment caractériser le Communisme selon Marx ?

- Fondamentalement, ce n’est qu’une variante du communisme spontané, saisi comme vrai achèvement civilisé. De ce communisme, on veut en démontrer explicitement la nécessité Chronologique au moyen de la science Économique.

- Concrètement, Marx s’appuie sur une théorie Démocratique “utopiste”, qui retourne contre le Libéralisme Anglais ses propres armes. Et cela conduit à un programme Socialiste “utopiste”, qui défie l’avènement objectif de la Barbarie Intégrale dans l’Occident de 1845.

2- L’avènement du Communisme Historique (et non pas Chronologique) est l’affaire pratique du Front Rouge (et non pas du Syndicat Rouge).

La base du Front Rouge, c’est le tandem Salarié/Femme. Évidemment, il ne faut pas s’attendre (loin de là) à ce que “tous” les salariés et “toutes” les femmes soient Rouges avant la victoire. Aussi, la base du Front Rouge doit-elle être définie comme l’union du Syndicat de salariés rouges et du Parti de femmes rouges.

Ce qui importe présentement, c’est de bien comprendre que le Syndicat de salariés, amputé de son complément essentiel, le Parti de femmes, ne saurait donner le jour à la République Syndicale. Il est une bonne raison à cela : c’est que la République Syndicale consacre la mainmise des MÉNAGES sur l’Entreprise. Insistons sur le fait que les Ménages, en tant qu’ils évoquent l’intervention décisive des Femmes, ne se réduisent nullement aux “ménages de salariés” ! Réciproquement, le concours absolument nécessaire de la Femme de “tous les milieux” pour libérer l’Entreprise ne signifie nullement que le Socialisme entraîne une subversion du ménage des “femmes bourgeoises” seulement.

Finalement, l’union indissociable du Salarié et de la Femme dans l’avènement du Socialisme oblige, pour être précis, à qualifier l’ordre nouveau par l’expression de République “Syndicale-Partisane”. Le Syndicat de Salariés, en tant qu’il lutte pour le Socialisme, ne mène pas une action “trade-unioniste”, qui viserait à “abolir l’inégalité des classes” employeur-employé ; et le Parti de Femmes, en tant qu’il lutte pour le Socialisme, ne mène pas une action “féministe”, qui viserait à “abolir l’inégalité des sexes” masculin-féminin. C’est de tout autre chose qu’il s’agit : le Salarié et la Femme luttent pour enfanter une nouvelle espèce de la race humaine, l’espèce Communiste !

3- On ne saurait trop insister sur l’importance du Parti de femmes rouges dans le combat contre la Barbarie dominante et pour le Communisme, sur la particularité distinctive (la “spécificité”) de ce Parti face au Syndicat de salariés rouges.

Le Syndicat des salariés est principal et le Parti des femmes est secondaire, dans le couple solidaire que forment les deux organisations ; c’est pourquoi notre République sera Syndicale ET Partisane. Mais il faut comprendre correctement les mots “principal” et “secondaire”. Syndicat et Parti ne sont pas en relation d’hégémonie du premier sur le second ; il s’agit d’un vrai Rapport liant deux contraires Identiques. Le Parti n’est pas dans une position d’“accident” vis-à-vis du Syndicat qui serait la “substance”. D’ailleurs, s’agissant d’un vrai Rapport, dans des circonstances données, passagèrement, mais alors de façon décisive, le Parti peut et doit occuper la position principale dans le couple.

Notre République sera “d’abord” Syndicale parce que la citoyenneté civilisée reposant sur les circonscriptions territoriales (les “communes”) sera évincée définitivement ; elle sera “ensuite” Partisane parce que le critère de la représentation reposant sur l’Entreprise ne signifiera pas l’exaltation du Travail civilisé, mais au contraire sa subordination délibérée à la Fécondité naturelle. En ce sens, c’est la Femme, “localisée” dans les lieux d’habitation, et dotée de la fonction “maternelle”, qui rééduquera le Salarié…

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C- Pondeuse d’Héritiers

Sous la Civilisation, la Femme était essentiellement “pondeuse d’héritiers”, avec les attributs qu’entraînait cette fonction : maîtresse de maison, devoir conjugal, etc. Tout cela était cohérent avec l’ordre social reposant sur la Propriété et la Citoyenneté.

Il faut bien prendre garde au fait que la femme civilisée est “pondeuse” au sens d’une fécondité spirituelle : sa maternité produit des enfants dont le corps est le “temple de l’âme” ; l’enfantement n’est légitime que dans le cadre du Mariage, c’est-à-dire de la Cellule du Ménage ; et la progéniture consiste explicitement en “héritiers”, en supports de la Propriété-Citoyenneté (héritiers civils et politiques).

La femme civilisée, “pondeuse d’héritiers”, était vis-à-vis de son époux comme la Vierge Marie, “Mère de Dieu” (theotokos), c’est-à-dire occasion, mystérieusement prédestinée, de l’Incarnation dans le Temps du Verbe Créateur Éternel (“engendré” du Père mais non “créé”). Marie, “Reine du Ciel”, y est le complément du “Fils de l’Homme”, du “Nouvel Adam” ressuscité “Roi du Ciel”. En d’autres termes, Marie préside sur la Cité céleste, tandis que son fils par la chair règne sur ses habitants, les Agréés de la Jérusalem d’en-haut, l’“Israël” spirituel, la “Communauté des Saints”.

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D- Putain et Poulinière

Que devient la Femme dans notre régime de Barbarie Intégrale dominante ?

La société civilisée avait l’honnêteté d’afficher qu’elle comportait, d’une part une classe Inférieure, et d’autre part un sexe Accessoire. La Barbarie Intégrale dominante, depuis 1845, n’a plus cette franchise ! C’est que la Civilisation était saine, tandis que la Barbarie est malade. Résultats de l’hypocrisie et la démagogie Barbares : le Salarié qu’on dit crouler sous les “Acquis sociaux” est ravalé au rang d’Indigène exploité ; et la Femme qu’on dit “émancipée” se trouve sous le joug oppressif de la Bestialité.

Je dis que dans le monde présent la Femme est livrée en proie à la Bestialité. Ceci est son sort fondamental, qu’il reste à préciser. En effet, la vérité de la Barbarie ne se montre toute nue, dans tous les domaines, qu’en temps de Guerre, dans les Blocs rivaux Démon-crate et Nazi, idéologiquement commandés par la Maçonnerie et le Racisme respectivement. Il y a donc une Bestialité Démon-crate et une Bestialité Nazie à distinguer.

1- L’“idéal” féminin des Démon-crates est la PUTAIN

Je parle bien d’“idéal”, c’est-à-dire de l’essence de la condition féminine, de ce vers quoi tendent les démon-crates en la matière. La situation effective peut paraître très en retard par rapport à cet “idéal” – qu’on devrait bien plutôt appeler anti-idéal –, mais le fond du problème est bien celui que je décris !

Je parle bien de “Putain”, mais il va de soi que les Démon-crates prennent le soin de glorifier la Putain de façon très “intelligente”, de façon oblique, allusive pour le grand public. Mais le harcèlement dans cette direction ne fait aucun doute (le phénomène massif de prostitution “occasionnelle” des épouses légitimes – avec consentement du mari – date de notre génération).

Les précisions que je viens d’apporter sont indispensables, mais elles n’ont pas par elles-mêmes grand intérêt ; elles ne sont que le préalable nécessaire pour se poser les bonnes questions :

- En quoi la Bestialité Démon-crate organise-t-elle la putréfaction du Maritalat civilisé et non pas, comme elle le prétend, la “Libération de le Femme” ?

- En quoi la Bestialité Démon-crate, nourrie principalement de la Libre-Pensée de Gauche, aboutit-elle à un Cynisme “Spiritualiste” (clérical) ?

- En quoi la Bestialité Démon-crate représente-t-elle un contraire fondamentalement identique à celle des Nazis ?

a- Il ne faut absolument pas confondre la “PIN-UP” exaltée par la Gauche dans l’après-guerre, et la PUTAIN glorifiée par la Démon-cratie dans l’avant-guerre. En allant “plus loin” que le modèle Pin-up, le modèle Putain bascule d’un type de “liberté” PASSIVE dans un type inverse de “liberté” ACTIVE ; de simple “allumeuse”, elle devient “racoleuse”. C’est la fameuse “révolution sexuelle”, qui prétend réaliser la complète “égalité des sexes”, sous prétexte que de la “femme-objet” on passe à la “démocratisation” de la prostitution. La femme “sexy” de Gauche, maintenant l’antagonisme mâle-femelle, ce modèle restait une tactique féminine pour “se caser”, avec la possibilité de “se négliger” dès la première maternité. Avec le modèle Putain, le cadre conjugal formel se trouve nié a priori : le couple se forme idéalement avec une “prostituée gratuite”, et ne tient que dans cette limite ; d’où l’“échangisme” (par ailleurs, on reconnaît le “métier” de prostituée payante).

b- Le modèle bestial-démoncrate de la femme Putain (aguicheuse débauchée, “professionnelle du sexe” par “amour”) se tient sur le terrain Civil, celui du Marché, de la Propriété, dont les deux Cellules sont Ménage-Entreprise.

La caractéristique du modèle Putain est que le Ménage se met totalement au pli de l’Entreprise, de sorte que le Ménage qui ne réunit plus que deux “partenaires” se trouve officiellement décomposé en tant que “cellule” fondamentale civilisée. En Démon-cratie, seul le “faux-ménage” a droit de cité. Ainsi les “régimes matrimoniaux” officiels ne sont plus qu’une fiction lamentable. Dans les faits, toute “communauté” entre époux est abolie, à cette différence près que le faux-ménage se nomme “séparation de biens” chez les riches et “concubinage” (“lit commun”) chez les pauvres. La “communauté légale” (réduite aux acquêts), intermédiaire entre les pôles précédents, n’est qu’un compromis boiteux et dérisoire.

Sur la base du faux-ménage bestial de la Démon-cratie, il ne faut pas s’étonner que la situation des Enfants et des Vieux devienne tragique. Concernant le premier point, on nous déclare : “Le remplacement des générations n’est plus assuré et la population vieillit. Causes : travail des femmes, maîtrise de la fécondité, diminution des mariages, augmentation des divorces” (QUID : Dénatalité). Admirons cette sociologie d’autruches ! Dans un faux-ménage, noué à partir de l’idée de la séparation anticipée, on ne voit pas ce que les enfants viendraient faire. L’enfant, obstacle fondamental à l’hégémonie du “sexe” tant que le carcan du ménage privé subsiste, ne peut qu’échouer dans la “famille monoparentale”, cette monstruosité juridique analogue à l’“entreprise unipersonnelle” (E.U.R.L.). (Réciproquement, on étudie sérieusement l’extension de la procédure de “faillite” commerciale aux ménages surendettés. C’est l’équivalent de l’annulation des dettes des faux-États, insolvables, du Tiers-Monde).

Je rappelle que la bestialité Démon-crate, ayant pour modèle de femme la Putain, est “inspirée” par les Cléricaux-Cyniques (Franc-Maçonnerie) ! Ces gens ne se gênent pas pour criailler sans cesse qu’ils “défendent la famille”, protègent les “droits de la femme”, “aident l’enfance”…

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2- L’“idéal” féminin des Nazis est la POULINIÈRE

La bestialité Nazie organise aussi la putréfaction du Maritalat civilisé et non pas, comme elle le prétend, la “Protection de la Femme”.

La bestialité Nazie, paradoxalement, nourrie au départ du Cléricalisme de Droite avant tout, aboutit à un Occultisme-“Matérialiste” (Libre-Penseur). Comment cela se fait-il ?

a- Il ne faut absolument pas confondre la “PONDEUSE” exaltée par la Droite dans l’après-guerre, et la POULINIÈRE glorifiée par le Nazisme dans l’avant-guerre. En allant “plus loin” que le modèle Pondeuse, le modèle Poulinière bascule d’un type de “protection” PRIVÉE dans un type de protection inverse : de “protection” PUBLIQUE ; de simple Mère de famille “bonne pondeuse”, elle devient “gardienne lyrique des forces obscures du sang”, “gardienne de la race”. C’est la fameuse “restitution de leur honneur” aux femmes, la “restauration de leur dignité” : sous prétexte que dans le ménage contrôlé par les curés judéo-chrétiens, on est “tourmenté par la nudité”, “ennemi de la beauté”, qu’on y “foule aux pieds la nature”, le nazisme préconise la “socialisation” du vêlage féminin. La femme “légitime” de Droite, maîtresse-servante-dévote, maintenait les formes du vieux maritalat ; ce n’était que l’alibi de l’Ordre Moral des ruraux d’un autre âge, d’un monde sénile, profondément hypocrite et étranger à tout “idéal de vie héroïque”. Avec le modèle de Poulinière, le cadre conjugal formel se trouve nié a priori, puisque la Nation est le “vrai” Ménage, qu’il s’agit de rendre fécond, avec une progéniture “saine”. C’est pourquoi on préconise le “mariage biologique”, en donnant un statut aux filles-mères, déclarant aux femmes : “Vous ne pouvez pas toutes avoir un mari, mais vous pouvez toutes être mères” ; et : “les enfants de l’amour (naturels) sont un bien plus précieux que les enfants du mariage”. Pour cela, on organise le sport féminin (Les sportives sont regroupées dans des camps grégaires disciplinés.) et les Études qui conviennent à leur nature (soin des enfants et de la maison (Cet enseignement bénéficie du dernier cri scientifique.), civisme, langues et art). C’est ainsi que dans le cadre de la “bipolarité” des sexes socialisée, la femme peut épanouir sa “vocation” propre, faire rayonner son sens du “renoncement”.

b- Le modèle bestial-nazi de la femme Poulinière (“mariée à la Nation” et simple “mère-célibataire” à l’égard de son géniteur, dévouée “fonctionnaire de la maternité” – la famille de quatre enfants est la norme encouragée) se tient sur le terrain Politique, celui de l’État, de la Citoyenneté, dont les deux organes sont Assemblée-Gouvernement dans la civilisation parachevée. Avec le modèle de la Poulinière, la forme du ménage privé subsiste dans la pratique et pour la masse, mais sur le fond, la Cellule au sens civilisé est abolie. En effet, le statut de mère-célibataire le confirme. En effet encore, l’État Nazi se donne comme une Ligue Virile (Männerbund), de sorte que dans le petit ménage particulier, subordonné au grand ménage qu’est la Nation (peuple=Volk), c’est l’homme qui exerce une hégémonie absolue, responsable exclusif de la création du ménage et de son entretien (même par-delà un éventuel divorce) ; la “personne physique” du mari se confond totalement avec la “personne morale” du chef de ménage. Ceci est cohérent avec le principe général qui veut que “tout État authentique repose toujours sur un ordre Masculin et sa discipline” hiérarchique. (Ceci n’empêche nullement que les femmes conservent le droit de vote établi en 1919, alors qu’il n’apparaîtra en France qu’en 1945 !). De plus, outre que le Guide (Führer) de la Nation est le Chef de tous les chefs, il y a un “régime matrimonial” spécial, celui de l’élite des S.S. (Cf. Coterie des V.I.P. en séparation de biens chez les Démon-crates.). Ce corps des S.S. (Schutz Staffel : échelon de protection) est le noyau de la “régénération” du peuple, la Noblesse nationale. Chaque membre est sélectionné sur la base d’un Livret d’hérédité biologique, qui atteste son ascendance Nordique depuis 1750 ; ensuite il demande une autorisation de fiançailles et de mariage à son chef de corps ; enfin, il se choisit une femme “de valeur raciale au moins égale, si possible même supérieure”, et s’oblige à engendrer une nombreuse progéniture. Le corps des S.S. aura pour mission de coloniser l’espace vital nécessaire à la Nation dans les plaines de l’Est, de la même façon que “la Femme est dans l’espace vital de l’Homme” au sein de la nation nordique, son “complément” naturel.

Je rappelle que la bestialité Nazie, ayant pour modèle de femme la Poulinière, est “inspirée” par les Libres-Penseurs-Occultistes (Racistes) ! Ces gens ne se gênent pas pour criailler qu’ils sauvent la femme du “chaos orgiaque” des Démon-craties, qu’ils magnifient la “noblesse de leur vocation” distinctive, qu’ils donnent la priorité absolue à l’“enfant”, qu’ils règlent “l’amour et la procréation sur les lois éternelles de la Vie, qui abattent les barrières culpabilisantes et morbides des cléricaux donnant en exemple la vierge et le moine”…

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Il est temps que naisse un vrai Parti Féministe rouge, qui saisisse la question sexuelle en profondeur, et prenne donc la Bestialité Barbare actuelle globalement, comme constituée de deux contraires identiques : celle des Démon-crates (Maçons) et celle des Nazis (Racistes).

Les deux camps sont tout autant MISOGYNES, l’un prônant la Promiscuité sexuelle et l’autre la Ségrégation (Apartheid) sexuelle. Les femmes n’ont-elles d’autre choix que le Bordel ou le Haras, d’autre destinée que Putain ou Poulinière ?

Certes, dans le cadre de la troisième espèce de la race humaine, l’espèce Communiste, la Femme sera tout bonnement une Humaine Personne, c’est-à-dire d’abord membre du GENRE humain de façon essentielle, et ensuite un INDIVIDU de façon tout autant essentielle (l’un n’allant pas sans l’autre).

Il peut sembler banal au plus haut point de parler de la troisième espèce de l’homme en terme d’Humaines Personnes. Erreur immense ! C’est méconnaître le fait que les Primitifs ne concevaient de Genre humain proprement dit que dans l’En-Deçà du monde immédiat (dans lequel ne pouvaient se trouver que des Clans et Races pratiquement au Pluriel) ; et c’est méconnaître le fait que les Civilisés ne concevaient d’Individus proprement dits que dans l’Au-Delà du monde immédiat (dans lequel ne pouvaient se trouver que des Ménages et Nations au pluriel).

Il faut en finir avec la “dénonciation” unilatérale du Porno et des sex-shops des Démon-crates, qui fait de nous des rabatteurs de la bestialité Nazie !

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E- L’aveu : Saint Paul

Pour ceux qui peuvent se trouver effrayés de devoir admettre l’identité essentielle de la Démon-cratie et du Nazisme, mais chez qui le feu civilisé couve encore sous la cendre barbare, je donne à méditer un des aveux des deux cliques : le jugement porté sur SAINT PAUL.

1- Nazi

Le grand philosophe nazi, Alfred Rosenberg, écrit dans “Le Mythe du XX^ème siècle” (1930) :

“Le courant chrétien apparut au pharisien Saul prometteur et bon à exploiter. Il prit brusquement la résolution de s’y rallier et, cuirassé d’un fanatisme indomptable, il prêcha la Révolution Internationale contre l’empire romain. Saul, devenu Paul, écrit aux Galates : “Il n’y a plus (avec le Christ), ni Grecs ni Juifs ; ni Esclaves ni Citoyens ; ni Homme ni Femme”. Ce Nihilisme reniait tout concept Organique ; cette spiritualité niait la polarité de la Vie, devint une force sans race. Saint Paul a ouvert la voie au chaos racial du vieux monde. Paul a rassemblé tout à fait consciemment tous les déchets politiques et intellectuels dans les pays qu’il parcourait, pour déchaîner un soulèvement des sous-valeurs ; il cherchait un soulèvement mondial, avec l’aide des parias de tous les pays, afin de renverser toutes les valeurs civilisatrices de la Grèce et de Rome. Paul a falsifié la grande figure du Christ : il l’a affublé d’une fausse Humilité, associé à un penchant affirmé pour la domination Mondiale, et à une Intolérance “religieuse” typiquement Orientale. Les Juifs savaient parfaitement pourquoi ils devaient mettre à sa disposition les synagogues pour sa propagande”.

(Hitler dit en octobre 1941 : “Le Christianisme fut une préfiguration du Bolchevisme”).

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2- Démon-crate

Je cite ici Rita Thalmann, qui publia la “somme” sur la condition des femmes dans l’Allemagne Nazie en 1981 : “Être Femme sous le 3^ème Reich”. Il faut savoir que cette dame n’est pas n’importe qui, loin de là ! Elle fut, depuis sa fondation (1971) jusqu’en 1977, Secrétaire nationale du mouvement “Choisir – la Cause des Femmes” dont la Présidente était Gisèle Halimi. En 1981, madame Rita est Directrice de l’“Institut d’Études Germaniques”, et Vice-Présidente de la “Fondation Internationale Scientifique des Femmes” (W.I.F.) à laquelle elle dédia sa somme.

Pour résumer disons que Rita est une fanatique social-démoncrate, franc-maçonne/libre-penseuse fanatique, et sioniste fanatique. Dans son livre, au chapitre “L’Ordre Masculin”,

- elle met en exergue Saint Paul (Corint. I-14/34) : “Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d’y parler, mais qu’elles soient soumises selon que le dit aussi la Loi”.

- dans le texte, elle précise : “En s’arrogeant les responsabilités de la cité, les Nationaux-Socialistes reprennent les exclusives misogynes de l’apôtre Paul ; leur État n’est pas un État du peuple, mais un État d’hommes, dans lequel la famille est privée de toute sociabilité par un Parti qui accapare entièrement ses membres”.

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“Que celui qui a des oreilles entende !” (Mat. 11/15)

Pour ma part, j’entends ceci :

- Le Nazi accuse Saint Paul d’être l’apôtre de la Promiscuité sexuelle, tandis que le Démon-crate accuse le même Saint Paul d’être l’apôtre de la Ségrégation sexuelle ! Tel est le sort des génies immortels…

- Le Nazi accuse les Démon-crates d’être les “Humanistes” qu’ils prétendent être, confondant le Clérical païen Proudhon et le Croyant Idéaliste Descartes. Le Démon-crate accuse les Nazis d’être les “Naturalistes” qu’ils prétendent être, confondant le Libre-Penseur païen Comte et le Croyant Empiriste Locke. Bref, ils se font l’un l’autre la meilleure publicité… sur le dos de Dieu !

- Nazis et Démon-crates font front commun absolu dans la haine de Saint Paul, dans la haine de la Civilisation, et dans la haine de tout “Utopisme” cherchant une issue positive à la crise de cette dernière. Bref, ils forment ensemble une seule et unique conjuration Barbare contre ce qui peut ressembler à un Peuple et contre l’Humanité.

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F- Remarques

Race

Bien prendre garde au fait que la “Race” des Nazis n’est que la Nation dont on fait un Mythe Occultiste ; et c’est ce qui fait sa force ! C’est ce qui lui fait annexer le Socialisme.

Ne pas confondre le Racisme :

- avec le vulgaire Chauvinisme populiste, qui prend un appui Physicien (néo-darwinien), dans l’Anthropométrie et la Génétique. Aux yeux des Nazis, la Race n’est pas un donné, mais un “idéal” de “régénération” nationale.

- avec le vulgaire Chauvinisme populiste, qui prend un appui Psychologique. Ce chauvinisme n’est que le préambule de la Démon-cratie, laquelle se veut “Humaniste” et non pas étroitement nationale.

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Exercice : le Beau Sexe

Un exercice ardu, mais qui sera décisif, consistera à comparer l’anti-Art dans ses deux versions Démon-crate et Nazie ; de quelle manière elles donnent ensemble une représentation complète de la “beauté laide” de la femme. On connaît en gros la “beauté” selon le modèle Putain, mais cela ne nous sert pas beaucoup tant qu’on ne l’identifie pas absolument à la beauté selon le modèle Poulinière. Goebbels dit : “La femme doit être BELLE et enfanter ; c’est son devoir”.

La revue étasunienne “Movie Story” lança en 1942 la Pin-Up (putain !) Betty Grable. Que doit-on penser si nous comparons celle-ci à la statue de “La Grâce” par le sculpteur germain Arno Breker en 1939 ?

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Difficulté (Populisme)

Il y a une difficulté, mais qui est aussi une clef de la métamorphose Droite-Gauche en Démoncrate-Nazi : c’est le “fumier” Populiste qui forme la transition entre après-guerre et avant-guerre. Ce fumier est à explorer soigneusement, parce que toute la Barbarie, tout le Bestialisme, s’y mêlent indissolublement. (Breker et Aragon hantent les mêmes salons).

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Urgence

Statistiquement, en ville, les jeunes peuvent compter avoir, successivement, au moins TROIS “conjoints” différents. Faut y penser !

Freddy Malot – août 2002

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Annexes

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Patrie

(“Mère” Patrie !)

Le nom date de François I^er.

Du Bellay :

“Qui a PAÏS n’a que faire de patrie.
Le nom est venu en France nouvellement,
avec les autres corruptions Italiques”.

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Voltaire :

“On a une patrie sous un bon roi,
on n’en a pas sous un mauvais”.

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Chateaubriand :

“Quand la liberté a disparu, il reste un pays,
mais il n’y a plus de patrie”.

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Bignon (1771-1841, grand fonctionnaire de Napoléon) :

“Il n’y a pas de patrie pour les esclaves”.

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Cicéron :

“La patrie est partout où l’on est bien”.

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Marc-Aurèle :

“Comme Antonin, ma patrie est Rome ;
comme Homme, ma patrie est le Monde”.

(Ceci ne vaut pas plus cher que Julien l’Apostat !)

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Cf. : “Foyer” ; “Clocher” ; “Frontières”.

F.M.

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Population/Peuple

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1789

Le “Paternalisme” Moderne achevé, tout périmé qu’il soit théoriquement, s’oppose pratiquement à la Chiennerie Barbare actuelle comme le jour à la nuit. Ce qui fut établi en 1789 en donne une preuve suffisante.

Déclaration

Que trouve-t-on dans la Déclaration des Droits du 26 août 1789 ?

• “L’Assemblée Nationale reconnaît et déclare, en présence de l’Être Suprême,

• les Droits Naturels, inaliénables et sacrés, de l’homme et du citoyen,

• afin que les Réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples,

• tournent toujours au maintien de la Constitution et au Bonheur de tous”.

Constitution

Que trouve-t-on dans la première Constitution Française, celle du 3 septembre 1791 ?

• “Il n’y a pas en France d’autorité supérieure à la Loi, expression de la Volonté Générale de la Nation” ;

• “Le Roi ne règne que par la Loi, et ce n’est qu’au nom de la Loi qu’il peut exiger l’obéissance” ;

• “Le pouvoir Exécutif ne peut faire aucune Loi, même provisoire, mais seulement des proclamations conformes aux Lois, pour en ordonner ou en rappeler l’exécution” ;

• “Les Ministres sont Responsables de tous les délits par eux commis contre la Constitution ; de tout attentat à la propriété et à la liberté individuelle ; de toute dissipation des deniers destinés aux dépenses de leur département” ;

• “La Constitution garantit aux Citoyens la liberté de s’assembler paisiblement et sans armes, et la liberté d’adresser aux autorités constituées des Pétitions”.

• “Sont Exclus du droit de citoyen actif (les Propriétaires) qui, après avoir été constitués en état de faillite ou d’insolvabilité, ne rapportent pas un acquis général de leurs créanciers”.

F.M. – avril 2002

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Trinité du Front

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L’Esprit

Le S^t Esprit est la troisième Personne de la Substance unique de Dieu. C’est la personne la plus “abstraite” (Colombe), mais en même temps la moins “mystérieuse” (Providence). Tout est contradiction !

Le S^t Esprit a lui-même trois attributs, ou fonctions :

• Il est troisième de la Trinité (double négation au sein de l’Un total) ;

• Il est en négation directe et mutuelle avec le couple Père-Fils pris en bloc ;

• Il est médiation positive exclusive entre le Père et le Fils (“lien d’amour”).

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La Jeunesse

S’y applique ce que disait Lénine des Étudiants, “plaque sensible” de la société. Mais la Jeunesse ROUGE groupe les “Ouvriers de l’esprit”, ce qui ne se limite pas aux étudiants recrutés dans les classes moyennes ; c’est l’élite de la jeunesse en général.

La Jeunesse rouge bouscule audacieusement la routine, elle est envahie d’enthousiasme, avide de sacrifice. Le revers de la médaille c’est que, coupée des militants chevronnés, endurcis et expérimentés, elle ne se fait valoir que de façon circonstancielle (effervescence sociale), est portée à la témérité, l’indiscipline et l’instabilité ; ce “feu de paille” tend à se confiner dans art-mystique.

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Le Salarié et la Femme forment le couple “subversif” de base : le Salarié (avec ses alliés) subvertit la Barbarie comme classe “inférieure”, la Femme (avec ses alliés : émigrés, etc.) subvertit la Barbarie comme sexe “accessoire”. Les deux ensemble disloquent totalement le système, mettent la Caste aux abois (La Matrone complote avec les Esclaves, contre son époux Patricien).

La Jeunesse n’a pas le caractère massif dans la société, qu’ont le Salarié et la Femme. Elle n’a pas de “situation” dans la société civile (Ménage et Entreprise), et donc dans la société politique. Située entre l’enfant et l’adulte, elle n’est ni complètement détachée du Ménage, ni complètement attachée à l’Entreprise ; elle est “disponible”, indéterminée (D’où sa soif de comprendre le Pourquoi de tout, de philosophie, et son ardeur à peser sur Tout par son action). Dans la Jeunesse rouge, les sexes déjà différenciés se mêlent encore “à égalité”, dans une amitié passionnelle, avec une horreur spontanée pour la Bestialité (gros porc/petite dinde).

F.M. – avril 2002

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Monde Civilisé

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Dieu/Satan

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Maritalat/Misogynie

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La mainmise des Ménages
sur l’Entreprise
“abolit” en retour la Famille

Note sur “La Lèpre Jaune” – VI-a

Cette révolution qu’implique nécessairement le Communisme Historique, on le voit immédiatement, n’est pas simplement “économique” : en tant que victoire du Ménage sur l’Entreprise, elle s’annonce comme un bouleversement de tout l’ordre civil matériel, une subversion générale du Marché.

Ce n’est pas tout. Envisager sérieusement que les Ménages puissent s’emparer de l’Entreprise entraîne immédiatement l’inévitable extinction de la Famille.

Finalement, la fusion Ménage-Entreprise ne peut qu’appeler la refonte totale de l’Ordre Civilisé ; c’est l’évidence même. Ainsi, les deux Cellules du Marché Libre (Ménage et Entreprise) étant remises en question, le deuxième élément de l’armature civilisée, l’État Égalitaire, se trouve attaqué du même coup jusque dans ses fondements. Autrement dit, tandis que les deux Cellules privées, patrimoniales, du Marché sont assignées au tribunal de l’histoire, de même les deux Organes publics, patriotiques, de l’État doivent y comparaître forcément : le Gouvernement Légal et l’Assemblée Nationale.

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La mainmise des Ménages sur l’Entreprise, si on en mesure les conséquences, ne signifie rien moins que la dissolution du cadre matériel de l’ordre civilisé dans son ensemble, et donc du Spiritualisme qui l’anime mentalement.

La Caste Noire, qui domine aujourd’hui le monde, avait bien compris cela quand elle déclara la guerre à mort contre les Rouges en Juin 1848, et elle en avait mesuré l’enjeu : face aux socialistes-démocrates qui se proposaient de “prolonger” l’ordre civilisé de façon Utopiste, un bloc franc de Bandits-Parasites se dressa, avec pour seul projet de “décomposer” l’ordre civilisé de manière Barbare.

À sa façon, la Caste Noire n’avait pas tort de hurler à la mort contre les Rouges :

• Les Socialistes veulent faire de la société civile un Couvent, où on se livrera à l’Orgie sexuelle !

• Les Démocrates veulent faire de la société politique une Caserne, où s’imposera la Mortification des sens !

Les deux anathèmes étaient parfaitement contradictoires ; mais Socialistes et Démocrates ne s’opposaient-ils pas entre eux, comme Leroux et Blanqui, successeurs de Godwin et Babeuf ? Et puis, le projet des Rouges de prolonger l’ordre civilisé, et celui des Noirs de le décomposer, n’était-ce pas partager le même horizon civilisé borné ?

Bien sûr, si l’on juge l’affaire en profondeur, c’est bel et bien par rapport à eux-mêmes que les Barbares s’exprimaient en stigmatisant démagogiquement les Rouges : c’est leur propre clan Démon-crate qui est absolument Sadique, et leur propre clan Nazi qui est absolument Masochiste.

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Pour sortir de toute ambiguïté, il faut bien comprendre que la mainmise des ménages sur l’Entreprise, si elle est la seule réponse “économique” et “civile” à la crise générale de l’ordre civilisé, crève pour cela même l’horizon civilisé ; c’est que l’“abolition” positive de la Civilisation ne peut se concevoir que comme “dépassement” de toute la Préhistoire Sociale, ce qui à son tour implique la reprise en compte de l’humanité Primitive.

Ce qui succède, nécessairement, à la Préhistoire sociale, c’est ce qu’on peut nommer Communisme Historique. Le Communisme dans notre sens est un nouvel âge de l’humanité ; c’est précisément son âge Historique, lequel coïncide avec l’avènement de la 3^ème espèce de la race-Homme, Primitive-Civilisée tout à la fois (et pour cela distincte absolument des deux).

Le Communisme Historique ne peut prendre son véritable essor qu’à la suite de l’écrasement de la Barbarie Intégrale dominante ; alors, son élévation ne peut être que le fait d’un processus de longue haleine, accompagnant le double mouvement d’effacement parallèle du Spiritualisme civilisé et de réaffirmation du Matérialisme primitif.

Au total, l’humanité Historique consiste dans un double avènement Pratique :

• Avènement de la PARENTÉ de la Race humaine ; ce qui ne fut jamais que Théorique chez les Primitifs ;

• Avènement de la PERSONNALITÉ des membres du Genre humain ; ce qui ne fut jamais que Théorique chez les Civilisés.

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• En effet, chez les Primitifs, la Parenté proprement dite de la Race humaine entière,

- ne se concevait que dans l’Abîme, c’est-à-dire aux abords de la MATRICE chthonienne de la Mère émanatrice, au séjour des spectres des ancêtres (Schéol, Hadès) ;

- et dans cette obscure contrée, la Communauté des Justes (à l’exclusion des Maudits), incessamment réincarnée et toujours plus prolifique, tendrait à se dilater jusqu’à l’Unité pleine du Fœtus-Fille Immense (OBJET absolu).

• Chez les Civilisés, la Personnalité proprement dite des membres du Genre humain,

- ne se concevait que dans l’au-delà, c’est-à-dire aux abords du CERVEAU supra-céleste du Père créateur, au séjour dernier des âmes des défunts ;

- et dans cette lumineuse cité, la Série des Saints (à l’exclusion des Réprouvés), renforcée indéfiniment par de nouveaux élus et formant une société toujours plus intégrée, tendrait à se comprimer jusqu’à l’Unicité vide de l’Idée-Fils Éternelle (SUJET absolu). (cf. Trinité dans “Richesse Marchande”)

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Il y a de quoi être surpris quand on découvre que la seule mainmise des Ménages sur l’Entreprise débouche non pas sur une “réforme de structure” du Capitalisme parasitaire, ni même sur ce qu’on pouvait attendre du Socialisme Démocratique des Rouges, mais sur rien moins que l’avènement de la 3^ème espèce humaine, Communiste ou Historique, l’espèce Parentale-Personnaliste ; sans compter qu’à cette toute nouvelle Humanité il faut une Nature toute nouvelle, entièrement refaçonnée pour correspondre à la subordination délibérée à laquelle l’homme doit désormais s’astreindre vis-à-vis d’elle. Ainsi, c’est seulement pour l’humanité Historique que l’idée d’une société Écologique veut dire quelque chose.

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Un mot sur la révolution dans le rapport entre les sexes, qui est l’effet rétroactif de la mainmise des Ménages sur l’Entreprise. Pour bien la comprendre, il faut se rendre clairement compte que la Barbarie intégrale dominante ne propose que le choix entre deux formes contraires d’une Bestialité unique portée à sa dernière limite :

1- Les Démon-crates se veulent Monistes en la matière ; et au nom de l’humanisme, ils prêchent l’Identité des sexes fondée sur la “bisexualité” (Analogie de l’aguicheuse et du séducteur). Tel est le langage de ces Lucifériens “romantiques”.

La “politique sexuelle” des Démon-crates consiste en fait dans la gestion du Maritalat dégénéré dans le cadre d’un Bordel National, avec pour “idéal” la Prostitution gratuite et la royauté de l’Obsédé sexuel “professionnel”.

2- Les Nazis s’affichent ouvertement Dualistes en la matière ; et au nom du Naturisme, ils prêchent l’Antagonisme des sexes, fondé sur la “nature propre” du mâle et de la femelle. Tel est le langage de ces Lucifériens “héroïques”.

La “politique sexuelle” des Nazis consiste en fait dans la gestion du Maritalat dégénéré dans le cadre d’un Haras National, avec pour “idéal” le “Service Maternel”, qui est dévouement des procréateurs pour la “conservation et l’accroissement du sang sélectionné”. L’Étalon d’“élite” est roi.

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L’humanité Historique, Communiste, est la seule riposte possible à la présente Bestialité intégrale. L’Église Réaliste s’est nettement prononcée sur cette question (“Ménage Privé”, “Le Salarié et la Femme”). Malheureusement, il manque encore l’expression d’un Club de Femmes Rouges.

Les Femmes Rouges, n’en doutons pas, redécouvriront le Prophète-Philosophe PLATON (428-347 A.C.) ; elles diront le vrai sens et dévoileront la profondeur incomparable des réflexions du “divin Platon” (reconnu par les Pères de l’Église) vers 375 A.C. : la quête de l’Androgynie Perdue exposée dans “le Banquet”, et la nécessité de la Communauté des Femmes dans “la République”.

Freddy Malot – juin 2002

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Le Salarié et la Femme

Que sont les “acquis sociaux” civils du régime en place ?

Depuis l’écrasement des Rouges en Juin 1848, 150 années du système de Barbarie Intégrale dominant ont ruiné à l’extrême 25 siècles de Civilisation Révolutionnaire.

C’est le tableau de cette mutation dramatique de la société civile d’Occident qu’il me faut présenter.

Esprit et Matière

Du temps de la défunte Civilisation Révolutionnaire, on se faisait un devoir de faire primer l’Esprit sur la Matière. Cela se retrouvait en tout. Ainsi :

• Alors, le produit du Travail, par définition, était Marchandise. La marchandise était union de Valeur et d’Utilité ; et la valeur réclamait l’hégémonie sur l’utilité.

• Alors, la société civile parfaite se donnait comme le Marché. Par suite :

- Le Salarié dans l’Entreprise représentait le Travail vivant par excellence (la poule aux œufs d’or) ;

- La Femme dans le Ménage représentait la Fécondité spiritualisée par excellence (la pondeuse d’héritiers).

Masse Méprisable et Troupeau “Baisable”

L’ordre civilisé comportait des limites devenues évidentes rétrospectivement. Nous ne pouvons effectivement plus le voir que comme une phase préhistorique de l’histoire humaine. La Crise Finale de la Civilisation, déclarée il y a 150 ans, ne laisse aucun doute à ce sujet.

Mais cette situation même comporte un piège redoutable !

Sous le prétexte de la Crise civilisée, les Maîtres du Système glorifient diaboliquement la Putréfaction organisée de la vieille hégémonie de l’Esprit sur la Matière, à laquelle ils se consacrent, en vrais fils de Satan. Tel est le secret du régime de Barbarie Intégrale dominante de notre temps.

Les apôtres du Prince du Mensonge qui nous dominent trouvent mille masques pour travestir la Barbarie régnante : Progrès, Modernité, Droits de l’Homme, Émancipation de la femme, etc. Comment s’étonner que la Masse de la population se trouve totalement désemparée ?

Quoi qu’il en soit, cela nous donne l’actuelle société civile :

1- Concernant l’Entreprise :

Selon la Caste barbare, le plus grand crime, crime d’État avoué par le Code Noir du Travail, c’est le Syndicat Rouge ; plus largement, c’est la Libre Association populaire.

De sorte que :

• Mis à part les S.D.F. et les Cadres Dirigeants ;

• Et entre les extrêmes que sont les Lèche-bottes et les “Mauvais Éléments” subversifs de l’entreprise ;

Les salariés ne sont vus que comme une Masse Méprisable.

La classe des Salariés, que l’ordre Barbare lui-même force à se faire “protégée”, “assistée”, on a l’audace ensuite de la déclarer “Vile Multitude”, “Classe Dangereuse” (à voix basse, “entre soi”, non plus comme A. Thiers).

Le Salariat n’a qu’un statut possible sous le régime existant : c’est la Classe Détestable.

Tel est le vrai visage de notre société des “Ressources Humaines”, où les Rapaces font la Loi, débordant de Morgue. Leur audace est incomparablement plus grande que celle des seigneurs dégénérés d’autrefois à l’égard de leurs serfs !

Ce n’est point du tout au caractère préhistorique de l’entreprise civilisée que les rapaces dominants s’en prennent. Ce qui motive leur rage contre la classe salariée, c’est au contraire le caractère révolutionnaire attaché à la vieille entreprise, le fait qu’elle ait précisément engendré cette classe avide de Travail Associé.

Va-t-on encore longtemps tolérer que les Barbares dominants diffament et ruinent l’œuvre civilisée, qui est le précieux héritage immédiat de l’humanité, en traitant le Salariat en Masse Méprisable ?

Va-t-on bientôt en finir avec le présent système économique indigne, à base de R.M.I./S.M.I.C., à base d’Intérim/A.N.P.E. ?

2- Concernant le Ménage :

Selon la Caste Barbare, la plus grande infamie, prêchée à travers la panoplie des Média voués à la Perversité des Mœurs, c’est le Féminisme Rouge ; plus largement, c’est la perspective que s’organise par la Terreur de Masse le simple Devoir de Pudeur et de Respect.

De sorte que :

• Mises à part les Fillettes et les Viragos (hommasses) ;

• Et entre les extrêmes que sont les Laiderons et les Pin-Up ;

Les Femmes ne sont vues que comme un Troupeau “Baisable”.

La Masse des Femmes, que l’ordre Barbare lui-même livre à la polygamie par le divorce à répétitions et à l’avortement faute de protecteur fidèle, on a ensuite l’audace de lui décerner les titres de “Beau Sexe”, “Sexe Charmant”.

La Femme n’a qu’un statut possible sous le régime existant ; c’est le titre finalement obscène de Sexe “Adorable”.

Voyez comme le Système “adore” ce qui lui est futile, et “déteste” ce qui lui est vital. Et cela-même favorise la plus sournoise et profonde division au sein de la masse humaine.

Tel est le vrai visage de notre société “Sex-shop”, où ce sont les obsédés du vidéo-porno, les hommes aux âmes libidineuses de Proxénètes, qui font la Loi. L’impudence de ces derniers va incomparablement au-delà de celle que montraient les mâles du moyen-âge décadent, qui arrangeaient le “mariage” d’une fillette et d’un vieillard, ou qui exerçaient le “droit de cuissage”.

Ce n’est point du tout au caractère préhistorique du ménage civilisé que les Proxénètes dominants s’en prennent. Ce qui motive leur “admiration” lascive pour la masse féminine, c’est au contraire le caractère révolutionnaire attaché au vieux ménage, le fait qu’il ait précisément engendré cette masse avide de Personnalité Sociale, résolue à donner son vrai sens au mot Amour en l’affranchissant de toute considération “matérielle”.

Va-t-on encore longtemps tolérer que les Barbares dominants nous chantent le couplet des “droits de la femme”, de l’“égalité des sexes”, de l’“émancipation” féminine ?

Va-t-on bientôt en finir avec le présent système domestique répugnant, à base de Pilule et Cosmétiques, à base d’“Ayants droit” et de Concubinage irresponsable ?

Parasitisme & Bestialité

Je résume l’enjeu que nous présente l’actuelle société civile occidentale, la décomposition extrême qu’affiche le ci-devant Marché, c’est-à-dire la vieille relation hégémonique Entreprise-Ménage.

Voyons successivement la Provocation insensée que constitue la situation réelle, si on a le courage de la regarder en face ; et la Riposte géante que cette situation réclame, si on accepte de s’élever à la hauteur du défi.

1- La provocation :

• Côté Entreprise :

- Le Parasitisme Intégral s’exerce sans frein dans le travail ; à commencer dans la sphère cancéreuse de l’État-Patron.

- Le Syndicat Jaune (et social-Chauvin), qui est ordonné comme institution Bureaucratique privilégiée et exclusive par la Technocratie dirigeante, est la véritable explication dernière de l’état de choses en vigueur.

Le Syndicat Jaune, absolument indispensable au Parasitisme, seul admissible par lui, et aggravant ce parasitisme même, est bien la 5^ème Colonne des Rapaces au sein du Salariat.

• Côté Ménage :

- La Bestialité Intégrale s’exerce sans frein dans les “Loisirs” ; à commencer dans l’intimité des alcôves des Ménages “Classiques”, dont l’union est très officiellement célébrée en mairie et à l’église.

- La Petite Dinde (et la femme-à-barbe “fonceuse”), qui se montre fière d’endosser le modèle de “Liberté des Mœurs” imposé par le Gros Porc dominant, est la véritable explication dernière de l’état de choses en vigueur.

La Petite Dinde (et autres “femmes libérées”), absolument indispensable à la Bestialité, seule tolérée par cette dernière, et aggravant la dérive, est bien porteuse de la “drogue dure” du Bestialisme qui envahit la Population.

2- La Riposte :

• Salariés !

Faut-il nous résigner tous à déchoir au rang de Mendigots pouilleux, à verser en masse dans l’attitude des Déclassés, pour finir par nous entre-tuer dans la Haine ?

Quand et comment les crochets des Ténias Insolents du parasitisme vont-ils être arrachés du corps social ? Combien pourrons-nous en sauver, en les parquant dans la prison salutaire du travail Collectif ?

• Femmes !

Faut-il nous résigner à sombrer toutes dans la fange de la “prostitution occasionnelle”, pour finir par nous suicider séparément sous l’effet de la Honte ?

Quand et comment parviendrons-nous à mettre au pas les Chiens Sadiques qui plastronnent dans la vie “libre” de la rue et de la nuit ? Combien pourrons-nous en sauver, en les isolant dans l’hôpital salutaire de la fécondité Monogame ?

• Salariés et Femmes !

À bas l’état actuel monstrueux de la société civile occidentale !

À bas ce Marché putride, en lequel se mêlent un Parasitisme “insensible” et une Bestialité “sentimentale” !

C’est notre tâche commune d’effacer de l’histoire ce système qui tourmente la Masse de la population.

•••

Vite ! Cap sur le Communisme !

• Le Salariat est-il vraiment

La Classe Mineure et sans Valeur ?

• La Femme est-elle vraiment

Le Sexe Stérile et Inutile ?

Que non pas !

C’est au contraire par le mariage Rouge du Syndicat et du Féminisme,

• Que les Ménages mettront la main sur l’Entreprise ;

• Que naîtra donc la République Communiste d’occident.

La République Communiste, bien comprise, est le seul enchaînement positif possible, du vieux monde du Marché privé et de l’État public. Si l’on se défait sereinement du préjugé malsain qu’entretient la Barbarie dominante vis-à-vis du seul mot “communiste”, on y découvre un simple synonyme de Société Sociale.

Vu de cette manière, le Communisme est ce à quoi aspire la Masse Populaire authentique, la masse informe qui s’éveille et se dresse.

Le Communisme est le règne nouveau de l’Homme Humain, règne qui ne pouvait qu’être rêvé par l’humanité préhistorique d’hier ; c’est l’ordre de Liberté ou l’Individu pour lui-même, en même temps que le Genre humain pour lui-même, deviennent les critères, pratiques et non plus théoriques, de la vie sociale.

L’avènement de l’Homme Communiste ne peut à son tour s’envisager sans la refonte complète de la Nature. Le Communisme est un Nouveau Monde et une Nouvelle Réalité.

Dans l’immédiat et en ce qui nous concerne, le but est la République Communiste d’Occident, et plus précisément même la RÉpublique Communiste d’Europe. L’avènement de cette dernière en fera inévitablement le Bastion puissant, invincible, du Peuple Mondial dont nous ne pouvons nous dissocier. La cause est commune : c’est la Coopération Générale dans la Nation Unique !

Freddy Malot – avril 2000

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