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                   • Manuel Réaliste-Convenable du Comm-Anar

                   • Œuvres de Freddy Malot par ordre chronologique

 

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Tradition Matérialiste

Le fameux “Hillel”

Gamaliel II de Yavneh

Chema et Alénou

Alénou le-Chabbéah

Minim

Birkat ha-minim

Malédiction contre la Gale !

Ô ! Maïmonide “dogmatise”

Talmud, Maïmonide, Rachi, etc.

613 Commandements

Termes en hébreux

“Alphabet” hébreux

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Le fameux “HILLEL”

(- 70/+ 10) [1]

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Dit ne PLUS attendre le Messie ;
qu’il est DÉJÀ venu avec Ézéchias,
roi de Juda (718-689 A.C.) [2],
aussitôt après la chute de Samarie (722 A.C.).

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F. Malot

(cf. Richard Simon)

Gamaliel II de Yavneh

Comme son père, il était NASSI du Sanhédrin.

À la suite de la guerre de 66/70, et avant la “lutte finale” de 132/135, il fut le grand artisan de la réaction absolue du judaïsme, à la botte des persécuteurs romains.

[Cette clique de Yavneh avait commencé avec Yohanan ben Zakkaï, réfugié auprès de VESPASIEN lors du 1er siège de Jérusalem. On dit de celui-ci qu’il fut le premier à s’engager dans la mystique/cabbale ; qu’il déclara avant de mourir : “préparez le trône du roi de Judée Ézéchias qui doit venir m’accompagner dans le prochain monde”.] (F. Malot)

•••

En plus de ses fonctions de président du grand tribunal et de l’académie, Gamaliel assure la direction de son peuple. Ses multiples et périlleuses expéditions à Rome à la tête de délégations font de lui le porte-parole politique de sa nation : il côtoie les autorités romaines, l’empereur Domitien en particulier. La tradition rapporte maintes discussions que Gamaliel aurait menées avec des Romains de haut rang, “philosophes” et hérétiques, touchant à la théologie, la Bible et la littérature rabbinique.

Il n’est guère de domaine dans la foi et la pratique juives où Gamaliel n’intervient pas. Il fixe le texte de la Amidah, rend la récitation de cette prière obligatoire (Ber 4, 3 ; 28b), et y ajoute une bénédiction (ou plutôt une imprécation) contre les hérétiques (minim) ; elle est probablement dirigée contre les judéo-chrétiens – qui de la sorte ne peuvent plus se joindre à un office public, ou le conduire – ainsi que contre d’autres “ennemis du peuple”, tels les dénonciateurs et les apostats. Il rend également obligatoire la prière du soir. Il s’efforce de renforcer l’observance des fêtes, et de perpétuer les offrandes et les dîmes dues aux prêtres et aux lévites, ainsi que les lois de pureté rituelle, dont l’existence était liée, à l’origine, à celle du Temple et de Jérusalem. La version finale du canon biblique est peut-être également l’œuvre de Gamaliel et du Sanhédrin de Yavneh.

Encyclopédie du Judaïsme

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Chema et Alénou

« Écoute ! »… et … « Seuls Nous ! »

Écoute, Israël, l’Éternel est notre Dieu, l’Éternel est Un

Béni soit à jamais le nom de son règne glorieux !

Tu aimeras l’Éternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes facultés. Que les commandements que je te prescris aujourd’hui soient gravés dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, tu les répéteras dans ta maison et en voyage, en te couchant et en te levant. Tu les lieras en signe sur ta main, et ils serviront de fronteau entre tes yeux. Tu les écriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes.

Alénou le-chabbéah

(premier paragraphe)

C’est à nous à louer le Maître de toutes choses, à exalter le créateur du Commencement, car Il ne nous a pas faits comme les peuples des pays et ne nous a pas formés comme les familles de la terre. Il n’a pas rendu notre part semblable à la leur ni notre sort à celui de toute leur multitude. Et nous nous agenouillons et nous prosternons et nous rendons grâce devant le Roi des rois, le Saint béni soit-Il, qui a étendu les cieux et fondé la terre, dont le siège de la gloire est au ciel, en haut, et dont la résidence de la puissance est dans les hauteurs suprêmes. Il est notre Dieu, et aucun autre, vraiment notre Roi, nul sauf Lui, comme il est écrit dans sa Loi : Reconnais aujourd’hui et imprime-le dans ton cœur que le Seigneur est Dieu dans le ciel en haut et sur terre ici-bas, il n’en est point d’autre.

C’est pourquoi nous espérons en Toi, Seigneur, notre Dieu, pour voir bientôt la majesté de Ta puissance, faisant disparaître les idoles de la terre et les faux dieux seront exterminés ; pour restaurer le monde par la Royauté du Tout-Puissant et toute chair invoquera Ton nom ; pour faire retourner vers Toi tous les impies de la terre. Tous les habitants du globe reconnaîtront et sauront que tout genou doit fléchir devant Toi et toute langue jurer par Toi. Devant Toi, Seigneur, notre Dieu, ils s’agenouilleront et tomberont à terre, ils rendront hommage à la gloire de Ton Nom, ils accueilleront tous le joug de Ton règne et Tu régneras sur eux bientôt, pour toujours. Car la royauté est Tienne et jusqu’en l’éternité Tu régneras avec gloire, comme il est écrit dans Ta Loi : Le Seigneur régnera à jamais. Et il est dit : Le Seigneur sera Roi sur toute la terre, en ce jour le Seigneur sera Un et Son nom Un.

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Alénou le-Chabbéah

ALÉNOU LE-CHABBÉAH

“Rendons grâces (au Maître du monde)”

Ouverture d’une des prières juives les plus anciennes (souvent appelée simplement Alénou). Une tradition ancienne en attribue la composition à Josué après la prise de Jéricho, mais d’autres soutiennent qu’on la doit à Rav (Babylone, 3ème siècle). Les textes démontrent toutefois qu’elle date de la Grande Assemblée à l’époque du Second Temple, et que Rav l’a, le premier, intégrée au rituel du Nouvel An à la section Malkhouyyot de l’office supplémentaire de la Amidah. Sa ferveur, la concision de ses phrases et ses analogies évocatrices rapprochent Alénou des formes archaïques, de la poésie liturgique (piyyout). Le rythme de sa prose accentue son caractère solennel. Différentes dans leur contenu, les deux parties de la prière n’en constituent pas moins toutes deux une profession de foi juive. Le premier paragraphe insiste sur le rôle unique d’Israël en tant que peuple élu ; le second, réaffirmant la toute-puissance divine, exprime l’espoir universaliste d’un “monde meilleur sous le règne du Tout-Puissant”, mêlant fraternité des hommes et vision des temps messianiques.

Vers le 12ème siècle, les Juifs d’Europe occidentale commencèrent à dire l’Alénou au cours de l’office quotidien du matin. Par la suite, on l’intégra au mousaf (office supplémentaire), Amidah de Yom Kippour, puis aux deux autres offices des prières quotidiennes (après-midi et soir). Cette évolution est sans doute liée aux terribles épreuves subies par les Achkenazim au Moyen Âge : ainsi, l’accusation de crime rituel portée contre les Juifs de Blois, à la suite de laquelle quelque trente ou quarante Juifs subirent le martyre et furent brûlés vifs le 26 mai 1171. Les spectateurs chrétiens eux-mêmes s’émurent aux accents de l’Alénou que les Juifs entonnèrent par défi en témoignage de leur foi. Rabbénou Tam décréta un jeûne de vingt-quatre heures pour toutes les communautés juives de France et de Rhénanie. Alénou s’imposa vite comme credo, presque au même titre que le Chema, également chez les Juifs séfarades et orientaux et on le lit aujourd’hui debout à la fin de chaque office quotidien. En 1394, à la suite des calomnies proférées par un apostat allemand, les censeurs chrétiens obligèrent les Juifs achkénazes à retrancher une phrase clé du premier paragraphe de l’Alénou : “Car ils [les autres peuples] se prosternent devant la vanité et le vide, et prient un dieu qui ne sauve pas.” Le clergé y vit une allusion malveillante au christianisme, interprétant le “dieu qui ne sauve pas” (el lo yochia) comme une référence à Jésus (Yéchoua) et la valeur numérique des lettres formant les mots “vanité et vide” comme un jeu numérologique évoquant également Jésus. Les explications données par les Juifs, montrant qu’il s’agissait-là d’expressions reprises d’Isaïe (30 : 7 ; 45 : 20), dont l’usage liturgique avait précédé la naissance du christianisme, demeurèrent sans effet. Cette formulation prétendument insultante fut toutefois conservée dans le texte de l’Alénou récité par les Juifs du monde musulman. Par contre, elle est toujours absente des livres de prières achkénazes en diaspora, bien que certains rituels israéliens aient récemment réintégré le texte “choquant”.

Pour les grandes fêtes, on récite séparément les deux paragraphes de l’Alénou ; en d’autres circonstances, toutes les communautés juives le disent comme une prière formant un tout et l’on y ajoute un verset supplémentaire, Ve-nèèmar (Za 14, 9). Les chabbats et jours de fêtes, les Achkenazim le chantent en général en chœur. Agenouillement et prosternation sont des rituels étrangers aux Juifs, mais ils intègrent le rite synagogal pour Roch ha-chanah et Yom Kippour pendant la récitation de l’Alénou. La pratique traditionnelle exige que l’officiant s’agenouille et touche le sol de sa tête tandis qu’il récite : “Car nous mettons genou à terre et nous offrons notre adoration” ; on l’aide à se remettre sur ses pieds qui doivent rester joints, tandis qu’il poursuit la répétition à haute voix de la Amidah. Dans de nombreuses communautés orthodoxes, les fidèles exécutent le même geste de soumission. Selon une pratique largement répandue, on se contente de s’incliner, les autres jours de l’année, au moment où l’on récite ce passage. Chez les conservateurs, les usages varient : dans les synagogues réformées, on ouvre l’arche sainte pour les grandes fêtes, mais on ne s’agenouille pas. Contrairement aux Juifs de rite séfarade-oriental, les Achkenazim chantent les premières phrases de l’Alénou sur une mélodie traditionnelle (le niggoun mi-Sinaï) au cours de l’office supplémentaire de Roch ha-chanah et de Yom Kippour. C’est la même mélodie, qui pourrait dater du Moyen Âge, qui est utilisée pour le Kol Nidré à l’ouverture du Yom Kippour.

Encyclopédie du Judaïsme

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Minim

MINIM

“Sectes”, sg. min.

Terme largement employé par les rabbins pour désigner diverses sectes juives : les sadducéens et les boethusiens, les samaritains et les nazaréens (judéo-chrétiens). Dans la littérature rabbinique, le terme de min est souvent associé à celui d’apicorète ou de kofer, l’“hérétique” qui se rit des sages et des enseignements, rejette leur autorité et nie ouvertement celle de la loi orale. “Apostats (minim), délateurs et apicorètes, qui rejettent la Torah, nient la résurrection des morts, et se retranchent de la communauté”, sont voués à la perdition (RH 17a). Aux alentours de 70 [ap J.C.] (date de la destruction du Second Temple), on ne compte pas moins de vingt-quatre sectes (TJ Sanh 10,6). Leur présence au sein de la communauté juive fut bien vite considérée comme une menace envers le moral national et le judaïsme en général. En réponse à l’affirmation des nazaréens selon laquelle seul le Décalogue aurait force de loi, on cessa de réciter les Dix Commandements chaque matin à la synagogue, comme le voulait alors la coutume (Ber 12a). Entre 80 et 90 [ap J.C], on décida de joindre à la Amidah lue chaque matin une imprécation contre les hérétiques dont les calomnies étaient devenues intolérables (voir Birkat ha-minim). Cela eut pour effet majeur de détourner les judéo-chrétiens de la synagogue, transformant ainsi un groupe de Juifs hétérodoxes en une secte persécutée, qui finit par être détruite par l’Église chrétienne elle-même. Si, aux premiers siècles de l’époque talmudique, le terme de min désignait indifféremment les philosophes païens, les gnostiques ou les chrétiens, au Moyen Âge, il devint synonyme d’athéisme ou d’idolâtrie (voir Apostasie, Hérésie, Sectes).

Encyclopédie du Judaïsme

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Birkat ha-minim

BIRKAT HA-MINIM

“Bénédiction [3] contre les hérétiques”

Prière datant de l’époque hellénistique. C’est la douzième bénédiction de la Amidah des jours de semaine. Le Talmud affirme que cette prière était dirigée contre les sadducéens et qu’elle a été composée par Rabban Gamaliel II (Ber 28b). C’est ce qui a fait croire pendant longtemps que cette bénédiction avait été composée après 70 et qu’elle constituerait en fait une addition tardive au Chemoneh Esreh quotidien (Amidah). En fait, elle a probablement été rédigée dans le contexte de la lutte des Maccabées contre les Juifs qui collaborèrent avec l’oppresseur, hellénistique syrien (voir Hanoukkah). Par la suite, diverses circonstances historiques amenèrent à en modifier le texte. C’est ainsi qu’après la destruction du Second Temple on vit apparaître au sein du peuple juif des indicateurs qui travaillaient pour les autorités romaines (Chab 33b). Menacé dans son existence même, le judaïsme fut contraint de se durcir contre la présence de sectes en son sein (Meg 17b). Afin de localiser et de neutraliser les éléments pernicieux, R. Chemouel ha-Qatan adapta la bénédiction contre les hérétiques et y ajouta les clauses que l’on connaît actuellement. Il inclut dans l’anathème les nazaréens (judéo-chrétiens), les apostats, les dénonciateurs et autres complices de la persécution exercée par les Romains (Tos Ber 3, 25). Après avoir été tolérés, à titre de secte marginale, avant le déclenchement de la première révolte contre Rome (68/70 [ap J.C]), les judéo-chrétiens interprétèrent les malheurs du peuple juif comme un châtiment divin et c’est ce qui les coupa des rabbins les plus modérés.

Sous sa forme retouchée, la Birkat ha-minim consiste en une malédiction conçue de telle manière que les hérétiques (minim) ne puissent décemment la réciter à haute voix dans les synagogues et qu’il leur soit impossible d’y répondre Amen. C’était un moyen de les tenir à l’écart du culte public et de couper les liens qui les unissaient au peuple juif. Voici comment cette bénédiction devait être formulée dans sa version la plus authentique :

“Pour les apostats qui ont rejeté ta Torah, qu’il n’y ait point d’espoir et puissent les nazaréens et les hérétiques périr à l’instant. Que tous les ennemis de ton peuple, la maison d’Israël, soient promptement retranchés. Puisses-tu déraciner au plus vite, briser, détruire, subjuguer et humilier le royaume de l’arrogance rapidement et de notre vivant ! Béni sois-tu, Éternel, qui brise ses ennemis et humilie les arrogants.”

Une fois le danger passé, on procéda à d’autres modifications dans la formulation afin de l’adapter à l’actualité religieuse de l’époque et aux circonstances historiques du moment. Au Moyen Âge, les Juifs de France et d’Angleterre conservèrent cependant dans leur rituel l’ancienne version de cette bénédiction et cet état de chose se prolongea jusqu’au 13ème siècle au moins (voir Jacob ben Yehoudah de Londres, Ets Hayyim, I, édité par Israël Brodie, p. 90). Les formules originelles subsistent néanmoins dans les livres de prières yéménites et, dans une moindre mesure, dans les rituels séfarades. Cette malédiction n’est certes pas dirigée contre les tenants des autres religions. Pourtant les chrétiens y virent une attaque adressée à leur encontre. C’est ainsi qu’Avner de Burgos (Alfonso de Valladolid), un apostat espagnol du 14ème siècle, la fit retrancher du texte de la Amidah. De leur côté, les censeurs chrétiens imposèrent certaines retouches dans la formulation de cette bénédiction. Ces pressions eurent pour effet de remplacer le terme d’“apostats” (mechoummadim) par celui de “dénonciateurs” (malchinim) et de substituer le mot “méchanceté” à l’appellation “hérétiques” (minim). Souvent un terme anodin, les “arrogants” (zédim) remplace l’expression “royaume de l’arrogance” (malkhout zadon) qui désignait originellement l’Empire romain. Enfin la formule “tes ennemis” se substitue parfois à “les ennemis de ton peuple”. Dès le milieu du 19ème siècle, les réformés tendirent à exclure cette bénédiction de leurs livres de prières ou du moins à en atténuer la formulation.

Encyclopédie du Judaïsme

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MALÉDICTION contre la GALE !

QELALA … contre … MISSEPAHIT
Maudite Philosophie !

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Sous sa forme retouchée la Birkat ha-minim consiste en une malédiction, conçue de telle manière que les hérétiques (minim) ne puissent décemment la réciter à haute voix dans les synagogues et qu’il leur soit impossible d’y répondre Amen. C’était un moyen de les tenir à l’écart du culte public et de couper les liens qui les unissaient au peuple juif. Voici comment cette bénédiction devait être formulée dans sa version la plus authentique :

“Pour les apostats qui ont rejeté ta Torah, qu’il n’y ait point d’espoir et puissent les NAZARÉENS et les hérétiques périr à l’instant. Que tous les ennemis de ton peuple, la maison d’Israël, soient promptement retranchés. Puisses-tu déraciner au plus vite, briser, détruire, subjuguer et humilier le royaume de l’arrogance rapidement et de notre vivant ! Béni sois-tu, Éternel, qui brise ses ennemis et humilie les arrogants.”

Encyclopédie du Judaïsme

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Ô ! Maïmonide “dogmatise”

(Les Treize Racines)

Qui est plus grand que “RaMBaM”, rabbi Moïse ben Maïmon (1135/38-1204), pour les juifs “Réformés” ? C’est comme le “Condorcet” des sionistes.

Tous les juifs du P.C.F. en pâment, bien sûr… (F. Malot)

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YAG [4] IQQARIM

Les Treize Racines

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Formulation des articles de foi :

1. Existence de D.

2. Unicité de D.

3. Incorporéité de D.

4. Éternité de D.

5. D. seul doit être adoré

6. Croire en la prophétie

7. Supériorité de Moïse sur tous les prophètes

8. D. a révélé la Torah à Moïse

9. La Torah ne peut être changée

10. Omniscience de D.

11. Rétribution et châtiment

12. Messie

13. Résurrection des morts

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TALMUD, Maïmonide, Rachi, etc.

(500 – 1180 – 1085)

Le Talmud fut expurgé en 1863, pour convenir à la Maçonnerie païenne (cf. Alliance Israélite Universelle, Paris – 1860).

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GOÏ (), GOJA (), GOYIM (pluriel) – Non-juif = chien, cochon.

MIN, minim (pl.) : Non-juif = race, genos (cf. Document : Birkat ha-minim : imprécation)

NOCHRI, nochrim (pl.) : Étrangers.

OYEV (im) : Ennemis, Haïs.

RÂSH : MÉCHANCETÉ (ceux de) ; les Mauvais.

MALKHOUT ZADON : L’empire Chrétien = Royaume de l’ARROGANCE.

AHER (im) : les “AUTRES” = non-juifs. (N’ont pas de nom).

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MECHOUMMADIM : les Apostats (les parents en portent le deuil quand ils sont vivants ; mais pas à leur mort).

MALSHINIM : calomniateurs (étrangers dans le Talmud).

ZEDIM : fauteurs d’iniquités (étrangers dans le Talmud) ; arrogants.

PERUSHIM : séparatistes = apostats.

MOUMAR ; KOFER (cf. Kofer be-iqqar) ; APICORÈTE : Transgresseur, Hérétique.

NEZIFAH ; NIDDOUÏ ; HÈREM : Excommunication.

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QELALAH : Maudit ! (= TOKHÉHAH : Châtié).

YIMMAH ! CHEMO VEZIKHRO. (Que s’effacent son nom et son souvenir ! = sa vie et sa postérité).

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1- “De même que les hommes sont supérieurs aux animaux, de même les Juifs sont supérieurs aux autres hommes” (Goyim).

2- “Les GOYIM n’ont pas de mariage”.

3- “La propriété d’un Goy équivaut à une chose abandonnée ; le vrai possesseur est celui qui la prend le premier”.

4- “Le Nazaréen (Jésus) est un Apostat. Les Édomites (chrétiens) sont des Idolâtres : ils disent que le Prophète (Isaïe) avait prédit Jésus (Josué) ; ils se prosternent devant la Croix ; le premier jour de la semaine (dimanche) est leur jour sacré ; ils pratiquent le honteux baptême, au lieu de la circoncision (la circoncision des turcs – musulmans – est sans valeur)”.

F. Malot

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613 Commandements

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Comme YHWH est “secret”, dans l’arithmétique juive, on n’écrit pas “normalement” 15 et 16. Ce devrait être 10-5 et 10-6 ; mais ce serait la valeur de YH et YW ! On dit donc 15 : 9-6 ; et 16 : 9-7.

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Termes en Hébreux

Termes en Hébreux

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“Alphabet” hébreux

Évolution de l’“Alphabet” hébreux

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“Alphabet” hébreux

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“Alphabet” hébreux

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[1] Jésus-Christ : - 6/+ 30.

[2] Les Témoins de Jéhovah disent : - 745/- 716.

[3] C’est-à-dire Malédiction ou Imprécation !

[4] CHELOCH ÈSSELÉM = 3-10.







Avertissement :

Nous vous rappelons que nous vivons en pays occupé :

"Les murs ont des oreilles...".