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                   • Manuel Réaliste-Convenable du Comm-Anar

                   • Œuvres de Freddy Malot par ordre chronologique

 

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Article n° 4

Dieu-Satan

Paganisme Intégral

Saints Innocents (28 Décembre)

Mein Kampf – Ressortissants

Décideurs en mouvement

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Dieu-Satan

 

Dieu-Satan

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Paganisme Intégral

Système-Cycle

 

Paganisme Intégral

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Saints Innocents

(28 Décembre)

L’Église célèbre, quelques jours après Noël, le 28 décembre, la fête des saints enfants de Bethléem qui furent massacrés à cause du Christ. Dans une antique préface du Sacramentaire Gallican nous trouvons une méditation sur leur martyre.

“La mort précieuse des petits enfants que le funeste Hérode, à cause de notre Sauveur, fit périr avec une cruauté bestiale, nous fait connaître les dons de la bonté de Dieu. Car la grâce à elle seule l’emporte en éclat sur la volonté, et la confession du martyre est plus belle que la proclamation de la foi. Ils furent des témoins du Christ, eux qui ne le connaissaient pas encore. Ô infinie bonté, qui ne permet pas que disparaisse le glorieux mérite de ceux qui furent massacrés pour son nom, mais qui, pour leur sang répandu, leur accorde la régénération salutaire et leur attribue la couronne du martyre !”

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HÉRODE, dans sa colère, fit mettre à mort de nombreux enfants à Bethléem de Juda, cité de David.

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Des enfants innocents ont été mis à mort pour le Christ, des nouveau-nés ont été massacrés par un roi inique. Ils suivent l’Agneau sans tache, et ne cessent de proclamer : Gloire à vous, Seigneur.

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2- Hérode fit mettre à mort de nombreux enfants de deux ans et moins, à cause du Seigneur.

3- Leurs anges contemplent toujours le visage du Père.

4- Une voix s’est fait entendre à Rama, qui pleurait et gémissait ; c’était Rachel pleurant ses enfants.

5- Sous le trône de Dieu tous les saints clamaient : vengez notre sang, vous, notre Dieu.

Psaumes du dimanche

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Je vous salue, fleurs des Martyrs, qu’à l’aurore de votre vie, l’ennemi du Christ arracha, comme le vent les rosés naissantes.

Premières victimes du Christ, doux troupeau d’agneaux immolés, vous jouez, devant l’autel même, avec vos palmes et vos couronnes.

Gloire soit à toi, ô Seigneur, à toi qui es né de la Vierge ; gloire au Père et au Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Amen.

Sous le trône de Dieu tous les saints clamaient.

Vengez notre sang, ô vous, notre Dieu.

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Mein Kampf – Ressortissants

La racine, l’essence, du “Racisme”, que professent tous les Noirs – les maîtres du régime de Barbarie Dominante, qu’ils soient Nazis ou Démon-crates – c’est la haine du Peuple, ravalé au rang de Masse, de “Métèques”, de “Ressortissants”. Comment on juge, après cela, les Youpins, les Nègres ou les Bicots, n’est qu’un effet marginal et un défouloir offert à la Masse.

Freddy Malot

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Mein Kampf - Adolf Hitler – 1923

(Mon Combat)

Adolf Hitler – 1923

Chapitre 3 : Sujets de l’État et citoyens

En général, la formation politique à laquelle on donne aujourd’hui abusivement le nom d’État, ne connaît que deux sortes d’hommes : les citoyens et les étrangers. Les citoyens sont ceux qui, en vertu de leur naissance ou d’un acte de naturalisation, possèdent les droits civils, les étrangers, tous ceux qui jouissent des mêmes droits au sein d’un autre État. Entre ces deux catégories fixes se trouvent, à l’état sporadique, ceux qu’on appelle heimatlos. Ce sont des gens qui n’ont pas l’honneur d’appartenir à l’un des États existant actuellement et qui, par conséquent, ne possèdent nulle part de droits civils.

Pour posséder ceux-ci, il faut tout d’abord, comme il a été dit plus haut, être né à l’intérieur des frontières d’un État. La race ou la consanguinité ethnique ne joue aucun rôle dans l’affaire. Un nègre, qui vivait autrefois dans un protectorat allemand et qui réside maintenant en Allemagne, met ainsi au monde un enfant qui est “citoyen allemand”. Dans les mêmes conditions, l’enfant de tout Juif, Polonais, Africain ou Asiatique peut être, sans autre forme de procès, déclaré citoyen allemand.

Outre la naturalisation conférée par le lieu de naissance, il existe une naturalisation qui peut être obtenue par la suite. Elle est soumise à différentes conditions préalables ; par exemple, le candidat ne doit être, autant que possible, ni un cambrioleur ni un souteneur ; il ne doit pas être suspect au point de vue politique – c’est-à-dire qu’il doit être un crétin inoffensif à cet égard – il ne doit pas, enfin, tomber à la charge de l’État dont il devient citoyen. Ceci s’entend naturellement, à notre époque réaliste, des charges pécuniaires qu’il pourrait imposer à sa nouvelle patrie. Si même le candidat paraît devoir être un contribuable d’excellent rapport, c’est là une recommandation très utile et qui lui permet aujourd’hui d’obtenir plus rapidement la naturalisation.

Dans tout cela, la question de race n’a rien à voir.

La marche à suivre pour acquérir le droit de cité dans un État n’est pas très différente de celle qu’on doit observer pour être admis, par exemple, dans un club d’automobilistes. Le candidat présente sa requête, qui est examinée et sur laquelle on donne avis favorable ; puis il reçoit un jour un billet l’avisant qu’il est devenu citoyen. Cet avis lui est, par-dessus le marché, donné sous une forme vraiment humoristique : on dit, en effet, à ce candidat, qui peut avoir été jusque-là un Cafre : “En vertu de quoi vous êtes dorénavant un Allemand !”

Ce coup de baguette magique est donné par le chef de l’État. Une transformation qu’un dieu serait incapable d’accomplir est opérée en un tournemain par ce Paracelse fonctionnaire. D’un coup de plumeau un misérable Slave, venu de Mongolie, est changé en “Allemand” authentique.

Non seulement on ne s’inquiète pas de savoir à quelle race appartient un tel nouveau citoyen ; on ne s’occupe même pas d’examiner son état de santé physique. Cet individu aura beau être rongé par la syphilis, il n’en sera pas moins le bienvenu comme citoyen dans un État moderne, à condition, ainsi que nous l’avons déjà dit, qu’il ne constitue pas une charge au point de vue financier ou un danger par ses opinions politiques.

C’est ainsi que les formations politiques, qui portent le nom d’États, s’assimilent des toxines dont elles ont ensuite peine à venir à bout. Ce qui distingue encore le citoyen d’un étranger, c’est que le premier peut accéder librement à toutes ses fonctions publiques, qu’il doit éventuellement satisfaire au service militaire et peut, en revanche, prendre part, activement et passivement, aux élections. Ce sont là, en tout et pour tout, ses privilèges. Car, en ce qui concerne les droits individuels et la liberté personnelle, l’étranger jouit de la même protection, et même souvent d’une protection plus efficace ; c’est, en tous cas, ce qui arrive dans la république allemande actuelle.

Je sais bien que l’on n’aime pas à entendre dire tout cela. Pourtant il est difficile de trouver quelque chose de plus illogique et même de plus complètement fou que notre droit civil contemporain. Il y a, à notre époque, un pays où l’on peut observer au moins de timides tentatives inspirées par une meilleure conception du rôle de l’État Ce n’est pas, naturellement, notre république allemande modèle ; ce sont les États-Unis d’Amérique qui s’efforcent d’obéir, du moins en partie, aux conseils de la raison. En refusant l’accès de leur territoire aux immigrants dont la santé est mauvaise, en excluant du droit à la naturalisation les représentants de certaines races, ils se rapprochent un peu de la conception raciste du rôle de l’État.

L’État raciste distribue ses habitants en trois classes : citoyens, sujets de l’État (ou bien ressortissants) et étrangers. En principe, la naissance ne confère que la qualité de ressortissant. Cette qualité ne donne pas le droit, à elle seule, d’accéder à une fonction publique, ni de prendre part à l’activité politique, par exemple aux élections. Pour tout ressortissant, il est essentiel d’établir exactement sa race et sa nationalité. Il lui est, en tout temps, loisible de renoncer à sa qualité de ressortissant et de devenir citoyen dans le pays dont les habitants sont de la même nationalité que lui. La seule distinction entre un étranger et un ressortissant vient de ce que le premier est le sujet d’un autre État.

Le jeune ressortissant de nationalité allemande est obligé de parcourir le cycle d’éducation et d’instruction scolaires imposé à tout Allemand. Il se soumet ainsi à l’éducation qui fera de lui un membre de la communauté conscient de sa race et pénétré de l’esprit national. Il devra ensuite satisfaire à toutes les autres prescriptions de l’État en ce qui concerne les exercices physiques et il sera finalement incorporé dans l’armée. L’éducation donnée par l’armée est une éducation générale ; elle doit être donnée à tous les Allemands et exercer chacun d’eux à occuper convenablement dans l’armée le poste pour lequel ses aptitudes physiques et intellectuelles pourront le désigner. Le titre de citoyen, avec les droits qu’il confère, sera accordé de la façon la plus solennelle au jeune homme de bonne santé et de bonne réputation, quand il aura accompli son service militaire. Le diplôme qui lui sera remis sera le document le plus important pour toute son existence. Il lui permettra d’exercer tous les droits du citoyen et de jouir de tous les privilèges attachés à ce titre. Car l’État doit faire une profonde différence entre les citoyens, soutiens et défenseurs de son existence et de sa grandeur, et ceux qui se sont fixés à l’intérieur des frontières d’un État pour y jouer seulement le rôle “d’utilités”.

La remise du diplôme de citoyen sera accompagnée de la prestation solennelle d’un serment par lequel le nouveau citoyen jurera fidélité à la communauté et à l’État. Ce diplôme constitue un lien unissant tous les membres de la communauté ; il comble le fossé séparant les différentes classes sociales. Un balayeur des rues doit se sentir plus honoré d’être citoyen de ce Reich que s’il était roi d’un État étranger.

Les droits du citoyen l’emportent sur ceux de l’étranger. Il est le maître et seigneur du Reich. Mais un rang plus élevé impose aussi des devoirs. L’homme sans honneur ou sans caractère, le criminel de droit commun, le traître à son pays, etc., peuvent en tout temps être dépouillés de cette dignité. Ils retombent alors au rang de ressortissants.

La jeune Allemande est “ressortissant” et ne devient citoyenne qu’en se mariant. Pourtant le droit de cité peut aussi lui être accordé si elle est Allemande et gagne sa vie par son travail.

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Décideurs en mouvement

Le Progrès – Mardi 15 avril 2003

Jean de Courcel vient d’être nommé directeur général Finances et Développement du groupe Penauille Polyservices. Âgé de 47 ans, diplomé d’HEC et l’ENA, il était jusqu’à présent chargé de mission à Bercy. Jean de Courcel a par ailleurs exercé les fonctions de directeur financier de Schneider de 1991 à 1995 puis a été directeur adjoint du cabinet d’Alain Juppé à Matignon. À partir du 20 mai 2003, les fonctions de président et de directeur général seront dissociées à la tête du groupe Lafarge. Bertrand Collomb demeurera président tandis que Bernard Kasriel assumera comme directeur général, la responsabilité du management du groupe. À la même date, la nomination de Bruno Lafont, comme directeur général délégué, sera proposé au conseil d’administration. Âgé de 47 ans, Bruno Lafont a réalisé l’ensemble de sa carrière dans le groupe. Il est directeur général adjoint en charge de la branche Plâtre depuis 1998.

L’assemblée générale du Club de la presse de Lyon a procédé au renouvellement de quatre administrateurs : Arezki Benmokhtar, Jacques Donnay, Benoît Richard et Michel Texier.

Le nouveau conseil d’administration du Club de la presse de Lyon est ainsi composé :

Président : Michel Texier (Intermédia), vice président : François Fillon (Viva), secrétaire générale : Marie-Françoise Villard (News), secrétaire générale adjointe : Nadjette Baillard-Maouche (France 3), trésorier : Pascal Auclair (Lyon-Figaro), trésorier adjoint : Jacques Donnay (Les Affiches lyonnaises).

Administrateurs : Arezki Benmokhtar (Viva), Laurent Meyer (Indépendant), Denis de Montgolfier (Arte), Laurent Poillot (Pleins Titres), Benoît Richard (Pleins Titres), et Paul Satis (TLM, France-Soir et Scoop). Collège communicant : Laure Pouzergue (Lyonnaise des eaux).

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Avertissement :

Nous vous rappelons que nous vivons en pays occupé :

"Les murs ont des oreilles...".