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Les Hébreux :
peuple de l’échec ?

Signature de Talib Freddy

(Freddy Malot)

Église Réaliste Mondiale – octobre 2003

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Les Bases

Le Temps

Le “Livre”

Trois époques

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Avant d’examiner en détail mon tableau (colonnes A, B, C, D), il faut avoir en vue les deux ruptures horizontales qui marquent les “crises finales” : celle du monde Primitif et celle du monde Civilisé.

C’est cette question historique fondamentale qui appelle une réflexion préalable concernant deux problèmes : le Temps et le Livre.

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Le Temps

Il semble normal que, s’agissant des Hébreux, la chronologie s’appuie sur la Genèse, et aille d’Adam à nos jours. Or, cette présentation est justement contestable au plus haut point ! Nous y avons recours, d’accord ! mais en étant pleinement conscients que ça ne “marche pas”, et pour mieux le montrer.

Qu’est-ce qui cloche ?

Nous avons l’habitude d’utiliser la Chronologie civilisée, c’est-à-dire l’idée du Temps placé sous l’hégémonie absolue de l’Éternité (comme la Création dépend totalement du Créateur). Ce faisant, disons-le au passage, nous ne faisons preuve d’aucun esprit critique, ne soupçonnant pas un instant que cette “idée du Temps” est essentiellement bornée, et diffère énormément de l’Histoire réelle. Cette réserve étant faite, on peut justifier la présentation Chronologique pour la partie inférieure du tableau, puisque c’est selon le Temps que la civilisation se voit elle-même ; mais il est proprement absurde d’appliquer ladite Chronologie à la partie supérieure, pour la bonne raison que la perspective de la Genèse sort de la civilisation et nous transporte dans la société Primitive, chez qui la durée est précisément perçue comme le contraire direct de notre Temps !

Caractérisons brièvement les conceptions diamétralement opposées de la durée, d’une part chez les Civilisés, d’autre part chez les Primitifs (dans ce camp, il y a tout autant les Gaulois que les Hébreux !) :

• Chez les CIVILISÉS, je l’ai dit, nous avons le Temps. Le Temps convient à l’humanité Spiritualiste, à la société Propriétaire-Citoyenne, Marchande. Ce monde de Liberté est Humaniste, Moraliste-Légaliste-Politique ; il est aussi Progressiste, c’est-à-dire Réformiste-Révolutionnaire. La mentalité civilisée ne connaît que des “êtres” particuliers-généraux : une société de Personnes combinée à un système de Choses ; ayant pour principe l’Être suprême, le Sujet absolu (Créateur et Mystère). C’est dans ce contexte que l’on a le Temps, essentiellement Discret-Continu, Linéaire (téléologique-archéologique). La pensée qui correspond à ce temps est Dogmatique-Rationnelle-Intellectualiste.

• Chez les PRIMITIFS, la Persistance est la forme prise par la durée. La Persistance convient à l’humanité Matérialiste, à la société Communautaire-Vétérancielle, Parentale. Ce monde d’Égalité est Naturaliste, Conformiste-Ritualiste-Grégaire ; il est aussi Traditionaliste, c’est-à-dire Sacrificiel-Réactionnaire. La mentalité primitive ne connaît que des “existants” sains-malsains : un Cousinage humain ayant à traiter avec les Rameaux actifs de la nature ; l’ensemble ayant pour racine la Puissance fondamentale, l’Objet absolu (Émanateur et Secret). C’est dans ce contexte qu’on a la Persistance, essentiellement Continue-Discrète, Circulaire (subsistance-réitération) [1]. La pensée qui correspond à cette persistance est Mythique-Symbolique-Opérative.

On comprend de cette façon pourquoi les civilisés glorifient l’Âme, et les primitifs la Vie ; pourquoi “concevoir” est entendu par les civilisés au sens Cérébral-paternel, et chez les Primitifs au sens Utérin-maternel [2] (Dois-je rappeler que nous ne sommes PLUS en Civilisation ? !).

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En conclusion, on ne peut tirer partie de mon Tableau qu’après avoir pris conscience qu’il est doublement “faux” : faux de bout en bout parce qu’il est non-Historique ; et formé de deux parties préhistoriques directement contraires, l’une selon la Persistance et l’autre selon le Temps.

En nous en tenant à ce qui est le plus simple pour nous, au schéma Chronologique, il faut savoir que les DATES, noms des Rois contemporains des hébreux, etc., bien après Dracon encore (620 A.C.), tout ce qui nous est dit est marqué d’incertitude. Alors, cependant, dans cette zone qui chevauche la naissance de la civilisation, les flottements sont surtout dus au fait que l’histoire des hébreux est composée d’événements minuscules, d’épiphénomènes, relativement à l’agitation que connaissent l’Égypte et la Babylonie.

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Un scientiste, prisonnier de la manière la plus vulgaire de la chronologie civilisée, peut aisément ricaner en lisant dans la Bible (juive) que la Création du monde y est datée de l’an 3761 A.C. ! Il peut tout autant se gausser des “Grandes Années” ou Cycles “astronomiques” affichés par les Hindous : un Âge des Dieux est de 4 320 000 ans ! Dans les deux cas, c’est le même problème, à cette différence près que les Hébreux en sont restés à un “calendrier” lunaire, alors que les Aryens en sont venus à adopter un “calendrier” luni-solaire (comme les Mayas, etc.).

Dans le tableau ci-joint “Genèse-5”, on peut trouver l’âge du monde ridiculement bref, et EN MÊME TEMPS juger invraisemblable que Mathusalem ait vécu près de 1000 ans, que Noé soit donné pratiquement comme un petit-fils d’Adam, et qu’il ait enfanté à l’âge de 500 ans !

Tout cela n’est compréhensible que si on abandonne complètement notre Chronologie, pour laquelle la durée est non pas une Persistance Réitérée, mais au contraire un Présent Fuyant (le civilisé, c’est-à-dire le bourgeois, dit : “Il faut être AVARE DE SON TEMPS” ; chose absolument inconcevable par le cerveau collectif des primitifs).

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La question des Dates, concernant l’“Ancienne Alliance” (mosaïsme) n’a donc pas du tout l’importance que peut lui donner une cervelle civilisée ; en particulier depuis Spinoza (1675) et Richard Simon (1685).

Les vrais problèmes graves sont les suivants : primo la perversion de la pensée israélite dès qu’elle nous est donnée en langue civilisée (cela commence avec la Septante) ; secundo la refonte complète de la Bible opérée par Esdras.

Ce n’est qu’une fois ces deux handicaps surmontés (autant que faire se peut), que le flou invraisemblable dans la chronologie peut avoir une incidence néfaste dans la compréhension du texte, déjà pour une cervelle civilisée (ce qui embrouille par suite notre travail Historiste).

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Un exemple pour finir. À une époque relativement récente, et en tout cas décisive pour l’israélisme, au début du 1er millénaire avant J.C., au temps du Royaume de David, voici les écarts de datation qu’on peut trouver :

 

 

Témoins de Jéhovah

Quid

Salomon

1037-997

969-930

Division du Royaume

957

928

OMRI et sa dynastie

951-905

881-841

 

À qui faire confiance ? Le problème est tellement sérieux que certains n’osent se mouiller et ne donnent que la “succession” des événements, sans se risquer à les dater !

Et pourtant, un écart de 65/70 ans nous mènerait aujourd’hui à confondre Bush et Roosevelt, Poutine et Staline… A-t-on connu ou pas la seconde Guerre Mondiale ? Y a-t-il ou pas d’Europe…

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Le “Livre”

On n’en reviendra pas, mais le grand postulat à admettre pour commencer, si on veut comprendre quoi que ce soit aux Hébreux et au Mosaïsme, c’est qu’il n’y a PAS de “Livre” juif ! Et pourtant, ce fait n’est qu’un corollaire enfantin pour quiconque s’est mis au clair sur la question du Temps.

L’existence de livres, que ce soient les livres ordinaires ou le Livre Saint, n’a de sens que dans la société du Temps, la société civilisée. L’idée même de livre est inconcevable et inadmissible même dans la société de la Persistance, dans la société primitive. La Torah de Moïse exclut toute idée de Livre tout autant que l’Avesta de Zoroastre. Admettre un Livre Juif, c’est déjà à la base trahir la richesse de l’Israélisme. Précisons que les juifs eux-mêmes pataugent dans la semoule à ce propos depuis belle lurette !

Les juifs étant dépourvus de Livre, on voit quel délire il y a à vouloir fourrer les fils-de-jacob dans une quelconque “Religion du Livre”, et où peut mener cette expression même qui ficelle ensemble, au nom d’Abraham, Moïse, Jésus-Christ et Mahomet ! D’où, réciproquement, les insanités cléricales professées par les “chrétiens” et les “musulmans”…

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Pour aller jusqu’au bout des choses, je rappelle – sans plus nous occuper des juifs – les précisions suivantes.

• D’une manière générale, il NE peut y avoir de Religion proprement dite, de mentalité Spiritualiste fondée sur le couple Foi-Raison, SANS référence à un Livre Saint quelconque. Mais :

- pourquoi limiter cela au Christianisme et à l’Islam ? Que l’on “oublie” de mentionner le Confucianisme et le Bouddhisme manifeste violemment le parti-pris occidental impérialiste, et le Paganisme réel des “chrétiens” (catholiques et protestants en premier lieu, l’Orthodoxie n’étant pas impliquée de la même manière).

- de la part des occidentaux, les Orthodoxes étant cette fois associés plus que tous autres, omettre dans les religions (AVEC Livre donc) l’Hellénisme Jupitérien, montre la sénilité intellectuelle de nos penseurs officiels (qui rangent par ailleurs sans scrupule le druidisme et d’autres choses de la même eau dans les “religions” !).

- la honte totale qui doit frapper les radoteurs occidentaux adeptes de la “religion du Livre” vient de ce qu’ils veulent faire oublier par dessus tout le Déisme Moderne, cette forme suprême de la Religion, dont c’est le “dépassement” précis qui peut seul offrir un avenir à l’humanité. Or, c’est justement le Déisme qui peut moins que tout autre se passer de Livre et qui posa le plus grandiose des Livres Saints. Il se trouve pour cela que le Livre du Déisme se passe de papier et d’encre au sens ordinaire, et n’est consigné dans aucune langue civilisée particulière, étroitement déterminée. Le Livre Saint du déisme est “gravé dans le cœur” de chaque homme, sous forme de la loi morale, avec la confirmation du Miracle de l’Harmonie de la Nature à la richesse inépuisable.

• Si l’on parle précisément, en toute rigueur, il faut distinguer la condition Négative faisant qu’aucune forme de la Religion ne peut être SANS Livre, et la désignation de la religion DU Livre de façon absolue, d’une forme très particulière de la Religion en laquelle “LE LIVRE” est essentiel, constitue le Dogme même, fait partie du Mystère divin POSITIVEMENT. À ce titre, il n’y a qu’une et une seule “Religion du Livre” : c’est l’Islam. Ainsi, ce qui tient lieu d’Incarnation dans l’Islam, ce n’est pas une Personne divine comme Jésus, mais une Chose divine, le Coran.

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Résumons la “démolition” du Livre Juif :

1- Le Rabbinat publie une Bible” ! (bien que toute la tradition voulût qu’il soit interdit de la traduire, et que même celles mises en circulation en hébreu ne puissent être que des Bibles de dérision – cf. Document : Torah, Séfer). Mais le mot même de Bible est grec (Bible = “livre” en grec, tout simplement !), et est tout autant inconnu en hébreu qu’en araméen ou en persan. Les juifs ne connaissent que les “Tables de la Loi” de pierre, devenus les “Rouleaux” (SIFRÉ) asiates ultérieurs qui sont de même nature : à l’image du Code d’Hammourabi gravé sur une stèle (nos “historiens” situent Hammourabi aussi bien au 23ème qu’au 18ème A.C. !).

2- La Torah est non pas “écrite”, mais Dessinée (graphiée). Ce qui est dessiné, ce ne sont pas des “lettres” d’un alphabet, mais des Signes, comme les hiéroglyphes égyptiens ou les caractères chinois.

3- Les Dessins hébraïques ne sont qu’un adjuvant d’une expression essentiellement Orale, un support mnémotechnique. Ainsi, chez les primitifs, l’expression du cerveau collectif est orale-gestuelle ; les dessins n’y ont de place que comme béquille de la verbalisation. C’est tout à l’inverse que fonctionne l’expression civilisée, où l’écrit logique, ontologique (selon l’être), impose sa loi à l’oral. Dans le faux “alphabet” juif, il n’y a qu’une expression sophistiquée du QUIPU Inca (cf. Document : L’“Écriture” de comptables). Ce n’est pas en ayant des “consonnes”, qu’on “voyelliserait” ensuite, qu’on obtient une écriture, mais par une révolution sociale et mentale complète.

4- L’usage qui est fait des Rouleaux de la Torah est celui d’un instrument Secret réservé à une Caste (les lévites). Les prêtres sont héréditaires, et les “premiers-nés” (cohanim) sont aidés de Scribes, dont le premier sens en langue civilisée fut celui de “comptables”, et non pas d’écrivains. En tout cas, les Rouleaux dessinés “rendent les mains impures” de qui les touche.

5- La fonction des prêtres détenteurs des Rouleaux est d’en faire la Récitation en tant que code Ritualiste, pour diriger les Cérémonies, les Sacrifices et les Hymnes. Ceci fait de la Torah tout le contraire d’un “livre religieux”. On peut tout au plus en voir un vestige spiritualisé dans le Missel catholique (qui n’a pas de sens en l’absence de vrais livres : le Nouveau Testament et les traités Théologiques des docteurs).

6- Ce qui met le comble de la confusion dans le problème du Livre Juif, c’est que les Rabbins furent amenés à appuyer la Torah qu’ils appellent “Loi écrite”, par le Talmud qu’ils appellent “Loi orale”. Avec une inversion complète des choses exposées de cette façon, allez vous y retrouver !

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On me dira : oui, mais tout cela est antique, les juifs se sont modernisés, ils ont à présent une vraie langue rationnelle, un vrai livre écrit, une vraie religion spirituelle, et même un vrai État politique…

Que répondre ? Je laisse répondre les 400 pages de “Qui est juif ? 50 sages répondent à Ben Gourion en 1958”, document inédit jusqu’à sa publication par Éliezer Ben Rafaël en 2001.

Notre Éliezer conclut ses 95 pages d’Introduction, disant : “Il est plus facile de définir qui n’est PAS juif que qui EST juif” ! Ça s’annonce mal…

Les Sages d’Israël nous apprennent ensuite que les juifs, accablés par le vernis de “modernité” qu’il leur faut assumer, sont torturés par l’exigence impossible mais qui doit primer par-dessus tout de préserver leur judaïté. Le résultat est une mentalité absolument schizophrénique. Citations :

• La base du judaïsme, c’est “la cellule organique du peuple juif”. On n’est juif que “de naissance”, “par la mère”. Le “peuple juif” est la collection des “généalogies” ainsi constituées. “Les autres nations peuvent changer de religion. Le judaïsme, et lui seul, fait exception, parce que chez lui la religion est indissociable de la filiation, laquelle est immuable. Aucun autre peuple au monde n’a conservé avec une telle abnégation la pureté et la sainteté de la race”.

• “La Torah n’utilise pas le mot de RELIGION”, jamais la synagogue ne sera une “Église”. “Chez les juifs, contrairement aux autres (!) religions, la Procréation vient à la place de la Conviction”. “Le Judaïsme est beaucoup plus (!) qu’une Religion”. L’“âme juive” du peuple-élu en fait le “peuple-prêtre” du genre humain.

• Un juif, Transgresseur autant qu’on voudra, et même apostat, est et reste juif. Mais le mariage d’un juif avec une femme non-juive ne donnera jamais de descendance juive. Que faire des Prosélytes ? “La conversion constitue un impérialisme”. Un étranger converti nous trahirait un jour ou l’autre. “Les prosélytes sont aussi insupportables pour Israël que la gale.”

• Le judaïsme est fait d’“habitudes héréditaires inscrites dans l’inconscient juif”. C’est cela qui permet d’“assumer le joug de la Torah”, de se montrer juif, ce qui est notre “mode de vie quotidien” spécifique, l’observation vraie des MITSVOT (préceptes de la Torah), dans tous ses aspects diététiques et hygiéniques.

• Il y a à Tel Aviv un “État Juif”, lequel est néanmoins indiscutablement “laïque”, et même un modèle du genre.

• Le génocide physique opéré par Hitler fut une abomination. Mais combien plus grave pour “l’identité juive” est la menace d’“assimilation” morale que furent pour nous les Lumières Kantiennes, que poursuivirent les Bolcheviks…

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Qu’il y eût 150 000 juifs dans la Wehrmacht d’Hitler vous étonnera-t-il encore ?

La schizophrénie judaïco-sioniste fait bien l’affaire de tous les Païens dominants, racistes ou maçons, occultistes ou cyniques. Le matérialisme dégénéré des juifs, prisonnier de la Barbarie dominante, avec son Talmudisme et sa Kabbale, “intéresse” tous nos païens.

Cela vaut vraiment le coup de prendre connaissance du document ci-joint sur “les Juifs Néo-païens”, pour comprendre l’Antisémitisme dans toutes ses dimensions…

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Trois époques

Un fait crève les yeux, si l’on est désintéressé (historiste) : TOUTE l’histoire des Hébreux – devenus Israélites – a un caractère essentiellement marginal et plus ou moins emprunté.

• Il est inutile de démontrer que, de tout temps, les juifs très portés à se présenter comme le nombril du monde, n’eurent aucune place en tant que tels dans l’histoire propre de l’Amérique (indiens du nord, précolombiens du centre et pueblos du sud), du Pacifique (Japon, Mélanésie, Indonésie, Australie), de l’Afrique noire, de l’Asie centrale et nord-orientale, du continent Indien et du sud-est asiatique.

Depuis la civilisation (600 A.C.) on peut relever ceci : autant on fut amené à parler des Juifs dans ce que fut le pôle “grec” civilisé, autant on fut muet sur leur compte dans le pôle “chinois”.

• C’est donc bien dans l’Occident qu’il nous faut découvrir le rôle des “Fils de Jacob” comme effectivement et constamment “marginal et emprunté”.

Reste alors à préciser deux points décisifs :

1- Le caractère accidentel et accessoire de l’histoire juive prit une forme totalement différente aux trois époques majeures que sont : celle de la Tradition matérialiste, celle de la Civilisation spiritualiste et celle de la Barbarie Intégrale païenne où nous nous trouvons (heureusement pas “époque” dans le même sens que les deux autres !).

2- Avec son visage propre à chaque phase (sympathique, puis misérable et enfin répugnant), l’histoire juive apparaît violemment contradictoire, un aspect étant socialisateur, positif ; et un autre anti-social, négatif. Dans les deux cas cependant, ce fut toujours, en dernière analyse, sans que les juifs en décident.

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[1] Chez les Primitifs, au-delà de la 3ème génération (donc de ce qui peut être “contemporain”), les événements tombent dans l’Oubli ; et si des Héros communautaires échappent à cet oubli (comme Hénoch ou David), c’est qu’ils se sont “absentés”, et sont prêts à “réapparaître” à tout instant.

[2] Cf. Sagesse Traditionnelle ; Mère Fondamentale ; Ménage Privé (textes disponibles aux Éditions de l’Évidence).







Avertissement :

Nous vous rappelons que nous vivons en pays occupé :

"Les murs ont des oreilles...".